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Réforme fiscale : l’impôt négatif

Publié le 05 octobre 2010 par Lecriducontribuable
REFORME FISCALE : L’IMPOT NEGATIF Le système fiscal français est devenu fou. Depuis 1945 des milliers de pages se sont accumulées années après années pour déterminer les impôts que doivent payer les particuliers, les entreprises ou les « capitalistes » possédant une maison, un pré ou un livret de caisse d’Epargne. 214 impôts différents touchent les Français. Ils varient et augmentent tous les ans et l’Etat nous prend aujourd’hui plus de la moitié de nos revenus. Comme ces textes sont souvent contradictoires, des milliers d’employés des impôts n’arrivent plus à déterminer avec certitude ce que chacun de nous doit payer. Et des milliers de conseillers fiscaux nous aident à le connaître. Le système fiscal français est devenu dangereux avec le Marché Commun et l’ouverture de nos frontières aux produits étrangers. Il rend nos entreprises non-compétitives, donc crée en France du chômage et de la pauvreté. Le nombre des « pauvres » augmente et atteint 13% aujourd’hui. Au lieu d’introduire plus de « justice sociale’ , il crée finalement de nouvelles injustices sociales, comme le chômage ou la non-compétitivité. Et il nous prend plus de la moitié de nos revenus, en nous faisant croire que ce n’est pas nous qui payons, mais l’autre, le « riche » ou le « patron ». Ce système d’une fantastique complexité n’est pas améliorable. Il faut donc le supprimer et le remplacer par un autre système adapté à la Mondialisation. L’ouverture des frontières rend d’abord obligatoire la suppression de tous les impôts touchant les entreprises, de près ou de loin. Il rend aussi obligatoire l’utilisation de la TVA taxant les produits importés : la TVA rétablit ainsi des droits de douane et protège nos usines. I l faut ensuite choisir le principe de l’impôt négatif, car il est simple et efficace. On impose tout le monde de la même façon, riche ou pauvre. Quand on prend la moitié de ses revenus au riche qui gagne 10 000 euros par mois, il donne à l’Etat 5000 euros. Quand on prend la moitié de ses revenus au pauvre qui gagne 1000 euros par mois, il ne donne à l’Etat que 500 euros. Puis l’état redonne à tout le monde la même somme, au riche comme au pauvre. Dans un pays riche comme le notre, cette somme peut représenter 1000 euros par mois. Le pauvre doublera pratiquement ses revenus et le riche paiera 9000 euros au lieu de 10.000 . Ce système est ainsi parfaitement répartiteur sans avoir besoin d’effectuer un seul contrôle fiscal. Il ne peut être établi qu’entre des individus possédant la nationalité française. Il élimine donc tous les étrangers qui se sont introduits illégalement en France, mais on peut par contre en faire bénéficier les étrangers entrés légalement. Il peut être modulé en fonction de l’âge. Une politique favorable à la natalité donnera une allocation plus forte aux enfants. Il est très simple et parfaitement efficace. Le système fiscal français est devenu fou. Depuis 1945, des milliers de pages se sont accumulées année après année pour déterminer les impôts que doivent payer les particuliers, les entreprises ou les « capitalistes » possédant une maison, un pré ou un livret de caisse d’épargne. 214 impôts différents touchent les Français. Ils varient et augmentent tous les ans et l’État nous prend aujourd’hui plus de la moitié de nos revenus. Comme ces textes sont souvent contradictoires, des milliers d’employés des impôts n’arrivent plus à déterminer avec certitude ce que chacun de nous doit payer. Et des milliers de conseillers fiscaux nous aident à le connaître. Le système fiscal français est devenu dangereux avec le marché commun européen et l’ouverture de nos frontières aux produits étrangers. Il rend nos entreprises non-compétitives, donc crée en France du chômage et de la pauvreté. Le nombre des « pauvres » augmente et atteint 13% aujourd’hui. Au lieu d’introduire plus de « justice sociale » , il crée finalement de nouvelles injustices sociales, comme le chômage ou la non-compétitivité. Et il nous prend plus de la moitié de nos revenus, en nous faisant croire que ce n’est pas nous qui payons, mais l’autre, le « riche » ou le « patron ». Ce système d’une fantastique complexité n’est pas améliorable. Il faut donc le supprimer et le remplacer par un autre système adapté à la mondialisation. L’ouverture des frontières rend d’abord obligatoire la suppression de tous les impôts touchant les entreprises, de près ou de loin. Il rend aussi obligatoire l’utilisation de la TVA taxant les produits importés : la TVA rétablit ainsi des droits de douane et protège nos usines. Il faut ensuite choisir le principe de l’impôt négatif, car il est simple et efficace. On impose tout le monde de la même façon, riche ou pauvre. Quand on prend la moitié de ses revenus au riche qui gagne 10 000 euros par mois, il donne à l’Etat 5000 euros. Quand on prend la moitié de ses revenus au pauvre qui gagne 1000 euros par mois, il ne donne à l’Etat que 500 euros. Puis l’État redonne à tout le monde la même somme, au riche comme au pauvre. Dans un pays riche comme le nôtre, cette somme peut représenter 1000 euros par mois. Le pauvre doublera pratiquement ses revenus et le riche paiera 9000 euros au lieu de 10 000 . Ce système est ainsi parfaitement répartiteur sans avoir besoin d’effectuer un seul contrôle fiscal. Il ne peut être établi qu’entre des individus possédant la nationalité française. Il élimine donc tous les étrangers qui se sont introduits illégalement en France, mais on peut par contre en faire bénéficier les étrangers entrés légalement. Il peut être modulé en fonction de l’âge. Une politique favorable à la natalité donnera une allocation plus forte aux enfants. Il est très simple et parfaitement efficace. Bernard Trémeau

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