Je ne peux que féliciter les initiateurs de cette démarche. Au mieux, on portera au pouvoir un parti qui comprend qu’il faut couper dans les dépenses et le gaspillage pour sortir les finances publiques des ornières dans lesquelles elles se sont enlisées. Au pire, un nouveau parti forcera le PLQ à se donner un chef capable de faire la « réingénierie » de l’État comme Jean Charest nous l’avait promis en 2003.
