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Propos du père François du 24 octobre 2010

Publié le 25 octobre 2010 par Maurice Puault

 

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Romainville le 24 octobre 2010

Propos du père François

Il va falloir que nous fassions attention, J-L Abiven et moi, car nous finirions rapidement par ressembler à deux duettistes complices qui ont entrepris d’échanger moult louanges et compliments de connivence pour leur satisfaction réciproque (« passe-moi la rhubarbe, je te passerai le séné »)…. Ce qui n’est absolument pas le cas.

Quoi qu’il en soit, c’est sacrément agréable de se voir retenu par le fond du pantalon quand on parle de s’en aller, d’abord parce qu’ils ne sont pas nombreux ceux qui ont publiquement regretté mon (faux) départ, ensuite parce que le mail du 19 Octobre (blog des Grands Champs) tombait à pic, à un moment où je ne sais qui semblait avoir entrepris de me déstabiliser, enfin parce que mon petit ego vaniteux ne répugne pas à se voir caresser dans le sens du poil.

Merci donc à Jean-Luc A et, compliment pour compliment, bravo pour son style ; les bons écrivains ne sont pas légion dans notre petite ville.

Récapitulons :

- Trop heureux de me voir applaudi, je vais faire comme Charles Trénet (dont je n’ai pas le talent) qui faisait régulièrement ses adieux au music-hall, et, sortant par la porte, revenait par la fenêtre.

- Je répète en tout cas que je suis heureux de voir un homme de talent prendre place « à mes côtés ».

Je lui laisse le soin de rédiger les papiers de fond (comme, pour la doctrine et la tactique, je m’en remets à Bruno Bellegarde et à « Rassembleurs et solidaires »), et, en outre, quelque chose me dit que, dans les mois qui viennent, la politique locale va devenir chose compliquée et que le moraliste que je suis aura tout intérêt à s’en éloigner et à n’en point parler.

Je continuerai en revanche, quand l’occasion m’en sera donnée, à faire mes papiers d’humeur, en m’éloignant parfois du plan local, et à planter des banderilles dans le cuir des fantoches, ou plutôt, comme dirait Maurice, à « mettre le doigt là où ça fait mal ».

Salut à tous

François Le Cornec


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