La mort
Mot tabou dans nos sociétés modernes occidentales.
Mais qui n’y pense pas ? Pourquoi le sujet de la mort nous effraie-t-il autant ?
Si nous nous posons des questions existentielles, la plus récurrente est probablement celle de la mort.
Le sujet n’incite qu’à des questions, puisque personne n’a de réponse.
On ne peut-être vivant que si l’on a une conscience aigüe de la mort.
Réfléchir à la mort, c’est prendre conscience du sens précaire de la vie.
On doit se poser des questions sur la vie et sur la mort, car ce sont ces questions qui en génèrent d’autres.
Alors à un moment donné, on peut se construire une morale personnelle, c’est-à-dire qu’on donne des axes à sa vie.
La vie a ou n’a pas de sens. Personne n’en sait rien. Mais de toute façon, rien ne nous empêche de lui en donner un : le nôtre !