Vous êtes nombreux à souhaiter lire des récits sur Ampus autrefois. Voici un extrait de la “Monographie d’Ampus” du Commandant Laflotte (1926) :
“A partir du XVII° siècle, on entre dans les temps modernes et les documents d’archives deviennent sinon plus intéressants, du moins beaucoup plus abondants. En 1639, commencent les actes de l’état civil (registres de catholicité). On y remarque, pendant les premières années, les noms propres de femme mis au féminin, comme Louise Pierrehuguette, Louise Marsenque, Marguerite Fouquesse, Anne Fournière , Jeanne Chauvine . Les Aicard, les Meissonnier, les Ravel , les Revel , les Perrache, les Villeneuve etc…existent encore comme patronymes .
En 1640, on trouve le premier cadastre, renfermé dans deux registres in-4° de 230 et 358 pages. Le premier volume se rapporte aux quartiers suivants qui n’ont guère changé de noms de nos jours, à peine l’orthographe : St-Jean , Cluayes , Peicogul , la Grange-Rimade , le Logis , le Grand-Puits , la Combe-de-Magne , les Adrechs , les Chateigniers , le Moulin-Vieux , le Défens , la Combe-Grasse , les Gras , Aby , la Grange , Rigaud , Couan , St-Michel , les Prés-Neufs , le Plan-d’Ampus , Olve , Valsigue et Raton.
Le deuxième volume contient les quartiers de Marencq , Pibarnier, Micauraou , Marète , Marcoux , Lentier , Lenglugi , Catalucs ,Notre-Dame , Chauloin , les Colles , Lagnerosc, La Sigue , Turquet , le Fer , Collefrat , le Petit-Puis , St-Victor , Ste-Auné , St-Joseph , Dessous-Ville , les Pré-d’Aups , Ville-Haute , Ruit et les Grailles.
Illustrations empruntées à la Monographie d’Ampus (1926)
En 1640, on trouve également la charte communale cédée à Ampus par le roi Louis XIII.
La suite demain , si vous le souhaitez chers lecteurs.