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Ce soir c'est nuit des bonbons....

Publié le 31 octobre 2010 par Marigotine

 

                    Pirates des caraïbes nouvelle version....

<b></div>BLINDAGE DE CORAIL</b>. Les côtes de la Papouasie-Nouvelle-Guinée, au nord de l’Australie, sont connues depuis longtemps pour leur richesse en épaves de la Seconde Guerre mondiale, depuis les bombardiers jusqu’aux navires de guerre en passant par les hydravions. Mais ce char japonais, récemment découvert dans le détroit de Makada, en plein Triangle du corail, est devenu l’une de leurs attractions sous-marines les plus prisées. D’une part, en raison de sa position, parfaitement stable et horizontale, qui le rend très photogénique. Et d’autre part, parce qu’il a coulé par4mètres de fond, ce qui autorise les plongeurs à le visiter avec un simple masque, sans bouteilles, et sans déranger les poissons. BLINDAGE DE CORAIL. Les côtes de la Papouasie-Nouvelle-Guinée, au nord de l’Australie, sont connues depuis longtemps pour leur richesse en épaves de la Seconde Guerre mondiale, depuis les bombardiers jusqu’aux navires de guerre en passant par les hydravions. Mais ce char japonais, récemment découvert dans le détroit de Makada, en plein Triangle du corail, est devenu l’une de leurs attractions sous-marines les plus prisées. D’une part, en raison de sa position, parfaitement stable et horizontale, qui le rend très photogénique. Et d’autre part, parce qu’il a coulé par4mètres de fond, ce qui autorise les plongeurs à le visiter avec un simple masque, sans bouteilles, et sans déranger les poissons. " title="Ce soir c'est nuit des bonbons...." />BLINDAGE DE CORAIL. Les côtes de la Papouasie-Nouvelle-Guinée, au nord de l’Australie, sont connues depuis longtemps pour leur richesse en épaves de la Seconde Guerre mondiale, depuis les bombardiers jusqu’aux navires de guerre en passant par les hydravions. Mais ce char japonais, récemment découvert dans le détroit de Makada, en plein Triangle du corail, est devenu l’une de leurs attractions sous-marines les plus prisées. D’une part, en raison de sa position, parfaitement stable et horizontale, qui le rend très photogénique. Et d’autre part, parce qu’il a coulé par4mètres de fond, ce qui autorise les plongeurs à le visiter avec un simple masque, sans bouteilles, et sans déranger les poissons. " border="0" /> BLINDAGE DE CORAIL. Les côtes de la Papouasie-Nouvelle-Guinée, au nord de l’Australie, sont connues depuis longtemps pour leur richesse en épaves de la Seconde Guerre mondiale, depuis les bombardiers jusqu’aux navires de guerre en passant par les hydravions. Mais ce char japonais, récemment découvert dans le détroit de Makada, en plein Triangle du corail, est devenu l’une de leurs attractions sous-marines les plus prisées. D’une part, en raison de sa position, parfaitement stable et horizontale, qui le rend très photogénique. Et d’autre part, parce qu’il a coulé par4mètres de fond, ce qui autorise les plongeurs à le visiter avec un simple masque, sans bouteilles, et sans déranger les poissons. (Banfi/Catersnewsagency/SIPA)                  La " selle " des examens....    Merde!                       J'ai oublié le code mon anti-vol....
<b></div>EN SELLE POUR LES ÉTUDES</b>. La densité de ce parc à vélos indien, aux portes d’un centre d’examens universitaire du Rajasthan, témoigne de l’engouement des jeunes de ce pays pour des études exigeantes. L’Inde compte en effet 400 millions de personnes de moins de 18 ans, dont 450 000 qui tentent chaque année d’être admis dans l’une de ses rares écoles d’ingénieurs. Mais le problème, c’est que celles-ci ne peuvent en accueillir que 13000, ce qui oblige de très nombreuses familles à se saigner aux quatre veines (5,3 milliards d’euros de dépenses par an) pour envoyer leurs enfants étudier à l’étranger. Et toutes n’en ont pas les moyens, bien sûr... à commencer par celles dont la progéniture roule à vélo. EN SELLE POUR LES ÉTUDES. La densité de ce parc à vélos indien, aux portes d’un centre d’examens universitaire du Rajasthan, témoigne de l’engouement des jeunes de ce pays pour des études exigeantes. L’Inde compte en effet 400 millions de personnes de moins de 18 ans, dont 450 000 qui tentent chaque année d’être admis dans l’une de ses rares écoles d’ingénieurs. Mais le problème, c’est que celles-ci ne peuvent en accueillir que 13000, ce qui oblige de très nombreuses familles à se saigner aux quatre veines (5,3 milliards d’euros de dépenses par an) pour envoyer leurs enfants étudier à l’étranger. Et toutes n’en ont pas les moyens, bien sûr... à commencer par celles dont la progéniture roule à vélo. " title="Ce soir c'est nuit des bonbons...." />EN SELLE POUR LES ÉTUDES. La densité de ce parc à vélos indien, aux portes d’un centre d’examens universitaire du Rajasthan, témoigne de l’engouement des jeunes de ce pays pour des études exigeantes. L’Inde compte en effet 400 millions de personnes de moins de 18 ans, dont 450 000 qui tentent chaque année d’être admis dans l’une de ses rares écoles d’ingénieurs. Mais le problème, c’est que celles-ci ne peuvent en accueillir que 13000, ce qui oblige de très nombreuses familles à se saigner aux quatre veines (5,3 milliards d’euros de dépenses par an) pour envoyer leurs enfants étudier à l’étranger. Et toutes n’en ont pas les moyens, bien sûr... à commencer par celles dont la progéniture roule à vélo. " border="0" /> EN SELLE POUR LES ÉTUDES. La densité de ce parc à vélos indien, aux portes d’un centre d’examens universitaire du Rajasthan, témoigne de l’engouement des jeunes de ce pays pour des études exigeantes. L’Inde compte en effet 400 millions de personnes de moins de 18 ans, dont 450 000 qui tentent chaque année d’être admis dans l’une de ses rares écoles d’ingénieurs. Mais le problème, c’est que celles-ci ne peuvent en accueillir que 13000, ce qui oblige de très nombreuses familles à se saigner aux quatre veines (5,3 milliards d’euros de dépenses par an) pour envoyer leurs enfants étudier à l’étranger. Et toutes n’en ont pas les moyens, bien sûr... à commencer par celles dont la progéniture roule à vélo. (Saurabh Das/AP/SIPA)       Entre les étudiants qui n'y sont pas encore!
                                                      Et les autres qui y sont déja!
   Contre  " l'injustesse" de cette réforme
   Quel est le pourcentage de "vrais" manifestants?
                              
Jeudi 28 octobre, ils étaient encore nombreux à manifester dans les rues parisiennes, au lendemain du vote définitif du projet de la loi par le Parlement. Mais bien que la mobilisation s’essouffle, les syndicats affirment vouloir continuer le combat contre un texte qu'ils estiment injuste.
Jeudi 28 octobre, ils étaient encore nombreux à manifester dans les rues parisiennes, au lendemain du vote définitif du projet de la loi par le Parlement. Mais bien que la mobilisation s’essouffle, les syndicats affirment vouloir continuer le combat contre un texte qu'ils estiment injuste. (Bertrand Guay/AFP)  Souvenez-vous, mardi dernier deux surfers essyaient de la sauver...    La baleine grise à bosse à fini par succomber.    Triste spectacle tout de même!
La baleine à bosse de douze mètres de long et pesant 25 tonnes, qui s'est échouée lundi sur une plage de Buzios au Brésil est morte jeudi 28 octobre. Les baleines migrent du nord de l’Antarctique pour s’accoupler au large de la côte à cette période.
La baleine à bosse de douze mètres de long et pesant 25 tonnes, qui s'est échouée lundi sur une plage de Buzios au Brésil est morte jeudi 28 octobre. Les baleines migrent du nord de l’Antarctique pour s’accoupler au large de la côte à cette période.    Préservons notre planète    Elle nous dédicace son coeur....
Cette photo immortalise un lac en forme de cœur à Manaus, située au cœur de l’Amazonie.
Cette photo immortalise un lac en forme de cœur à Manaus, située au cœur de l’Amazonie. (REUTERS)      Marigotine

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