Début octobre. La presse se pâme au Mondial de l'automobile devant des industriels rayonnants de bonheur au vu de prévisions de croissance de 3 à 4% et des résultats qu'affichent leurs marques respectives : les euros pleuvent par millions chez certains (Renault-Nissan, PSA, Volkswagen) .
L'avenir est rose...
Fin octobre, Christine Lagarde prévient les préfets que, avec l'arrêt du maintien sous oxygène de cette industrie, fin décembre, il va falloir qu'ils se préparent à anticiper des faillites et des plans de licenciement dans le secteur des équipementiers et des sous traitants automobiles. 40 000 suppressions de postes pour 2010. Les constructeurs automobiles eux, droits dans leurs bottes, claironnent que, en dessous d'un taux d'utilisation de 80 % une usine n'est plus rentable et que certaines de leurs unités françaises tournent désormais à 65%, contrairement à leurs installations d'Europe de l'Est.
L'avenir est maux-rose !
J'ai comme l'impression qu'une bielle a du couler quelque part entre début et fin octobre...
... on vit une époque formidable
vive l'économie solidaire
Jeu de briques
Snake
Pacman
Bubble