« Le monde (…) est d’autant plus photographiable qu’il cesse d’être transparent et fait obstacle à notre compréhension : la banalité même devient photographiable, pittoresque, à la mesure de l’opacité qu’elle nous oppose. »
Alain Bergala, Les absences du photographe. (avec Raymond Depardon, Correspondance new-yorkaise) ouvrage commun, éditeur Libération – Editions de l’Etoile, 1981 (p 70)