Une seconde.
On me parle dans mon oreillette. Oui. C’est bien ici l’affaire du Gruyère. Un instant, s’il vous plait. On me dit que le ministère n’est pas content du tout. Mon article est une grosse daube.
On m’envoie à l’instant un texte de @Yzabel2046 la ministre en charge que j’a eu l’occasion de rencontrer dans le cadre de mon enquête sur ce sujet délicat. On me dit que j’ai intérêt à publier cet article in extenso. Sans quoi je vais avoir de gros problèmes. C’est intolérable. Je me plaindrai à la cour européenne. Et surtout, qu’on n’essaie pas de me voler mon ordinateur.
Voici donc la réponse de Madame la Ministre.