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Sarko : névrotiquement nôtre

Publié le 04 novembre 2010 par Kalvin Whiteoak

Névrotiquement nôtreAinsi donc, au pays de Sarko 1er l’excité, non seulement on espionne du très haut de la Vigie tout journaliste susceptible de déranger la quiétude du Palais et du roitelet, mais en plus on fait voler les ordinateurs de ces mêmes empêcheurs de gouverner en rond pendant qu’on les place illégalement sur écoutes téléphoniques.

Joli menu typique d’une démocratie vertueuse.

Mais voici qu’on apprend aujourd’hui qu’en plus,  on les géolocalise en direct, des fois qu’il viendrait à leur sagace esprit de vouloir s’éloigner du chemin, de la voie, de l’évangile du conducteur de la nation.

Triste constat dans un des pays qui se réclament du respect des droits les plus élémentaires et essentiels du citoyen, ceci depuis une certaine révolution qui a beaucoup perdu de ses couleurs.

A travers diverses affaires (Karachi, Bettencourt, Woerth et autres gâteries), certains journalistes qui font leur métier et non de la pure propagande pour le pouvoir en place ont cherché à démonter le pouvoir selon Sarko, sorte de brouet entre le populisme le plus vil mâtiné de la sauce brune de certaines chemises historiques dont le nabot rêve en secret.

Car le bougre aime avant tout le pouvoir et voilà qu’il s’aperçoit au fil du temps qu’on va le lui enlever d’ici une bonne année. Dès lors, pour le vilain canard de l’Elysée, tout est bon pour « redorer » sa robe tachée. Se faire priver de son jouet lui est insupportable.

Du Rrom au gitan, en passant par la retraite à deux balles et la déchéance de nationalité pour avoir tiré sur l’un de ses preux chevaliers servants.

Quand on ajoute à cela que sa politique économique est nulle, injuste et que son pays est en perpétuel état de quasi faillite, on ne peut que s’interroger une nouvelle fois sur les motifs qui ont conduit 53 % des électeurs français à le placer là où il est.

Naïveté ? Goût inavoué pour les régimes forts ? Aveuglement coupable ? difficile de trancher, mais que de temps perdu avec un capitaine ne connaissant même pas les points cardinaux et d’une inculture crasse.

Faudra-t-il que les journalistes enquêtent aussi sur sa jeunesse et sur sa psychologie profonde, qui semble à jamais marquée de trop de visibles névroses, pour parvenir à géolocaliser les causes du désastre ?

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