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"Avec Carla, nous avons décidé d'assumer (...) C'est du sérieux"

Publié le 08 janvier 2008 par Slovar

Peu de choses importantes ou nouvelles pendant la conférence de presse de notre président. Si ce n'est le titre de ce post extrait de ses propos.


La réaction la plus cruelle étant celle de LCI : " Sarkozy le bateleur veut faire oublier le quotidien " Extrait : "Puisque la gestion du quotidien est difficile, parlons valeurs, pourrait-on dire. Mais il n'est pas sûr que les Français comprennent rapidement en quoi ce discours peut remplir cette année leur porte-monnaie .../ ..."

Le Monde dans un autre style n'y va pas par quatre chemins : "Il n'a ainsi pas vraiment répondu à ce qui est aujourd'hui la principale préoccupation des Français, le pouvoir d'achat, et estimé que "réduire le débat politique" à cette seule question était "absurde" - alors qu'il en avait fait un axe prioritaire. "Qu'attendez-vous de moi ? Que je vide des caisses qui sont déjà vides ou que je donne des ordres à des entreprises à qui je n'ai pas à donner d'ordre ?" a lancé le chef de l'Etat.

Interrogé sur l'impact dans l'opinion publique de la forte revalorisation de son traitement, votée en 2007, Nicolas Sarkozy a haussé le ton. "Est-ce qu'on a demandé à mes prédécesseurs ce qu'ils gagnaient et comment ils le gagnaient et comment avait été fixée leur rémunération ?" a-t-il lancé. "Je suis le seul à demander au Parlement de fixer mon salaire (...) A l'arrivée, ça me fait un peu moins que ce gagnait mon prédécesseur." Il est également apparu quelque peu sur la défensive lorsque des journalistes l'ont interrogé sur ses relations avec Carla Bruni, qu'il a emmenée fin décembre en voyage dans la vallée du Nil et le week-end dernier en visite privée en Jordanie ... / ..."

Rue89 : "Une question de Ruth Elkrieff (BFM-TV) sur la menace de crise économique mondiale donne l'occasion à Nicolas Sarkozy de faire un nouveau couplet sur le fait que les Français ne "travaillent pas assez", sur le fardeau des 35h... Les subprimes ou la menace de crise n'y changent rien. "Nous faisons ce qu'il faut, nous serons au rendez vous des résultats", a-t-il conclu. Ça s'appelle la méthode Coué .../ ..."

En fin de compte, il semble que nous n'ayons compris ni les uns ni les autres qu'un chef d'état choisit par une Top model ça vous valorise un quinquenat. Alors, le pouvoir d'achat, les augmentations de salaires et la crise économique mondiale ....

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LOBOFAKES


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