D'ores et déjà certaines villes ont leur double virtuel, les vaches ont une électronique embarquée qui rappelle celle des voitures… Il n’y a pas de limite à ce que couvrira cet « Internet des choses ». Beaucoup d’entreprises devraient trouver dans ces applications d’énormes marchés. Nouvel âge de gloire pour l’informatique, l’électronique et leurs services.
Mais cela soulève aussi des problèmes curieux.
- Rolls Royce est désormais capable de mesurer l’usage que l’on fait de ses moteurs, et donc de les louer : va-t-on vers une société où il n’y aurait plus de droit de propriété ?
- Que donnera ce monde interconnecté lorsque s’y mettront des Stuxnet et des bugs ?
- Quid de la liberté individuelle ?