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La vie au château – côté Groseille

Publié le 09 janvier 2008 par Anaïs Valente
J’ai regardé la Star Ac de vendredi soir, en différé (merci magnéto de mon cœur qui bat), de minuit trente à onze heures du matin… My god que c’était long.  Et ennuyeux.  Tellement soporifique que je me suis endormie un nombre incalculable de fois et que ce n’est que grâce à mon nez bouché et à mes quintes de toux que je me réveillais régulièrement en sursaut, que je rembobinait ma cassette pour tenter à nouveau de visionner l’émission.
La Star Ac devrait être remboursée par la sécu, une vraie recette bio contre les insomnies :
En plat principal, les chansons indigestes des candidats et puis l’arnaque totale du jury de soi-disant professionnels, qui consiste à faire voter le public durant des jours pour annoncer juste après la clôture des votes, d’une voix torturée « nous n’arrivons pas à nous décider, alors la meilleure chose est que vous choisissiez vous-même… la semaine prochaine ».  A noter que le public avait déjà choisi, mais qu’importe, tant qu’à plumer les pigeons, autant le faire jusqu’au bout.  Vous me direz, chers lecteurs, zont qu’à pas voter, les gens.  Je suis d’accord, mais que voulez-vous, tout le monde n’a pas notre capacité de réflexion, nos neurones en éveil et notre intelligence surhumaine (ainsi que notre modestie).
En fromage, Nikos qui interroge une musicienne (passqu’il y avait un splendide orchestre philarmonique de la mort qui tue), « votre violon, c’est un Stradivarius ? »… ben voyons, keski faut pas entendre.  Même moi (c’est dire), j’aurais pas posé une question aussi ridiculement ridicule.  Et le même Nikos qui, en fin d’émission, alors que le jury a annoncé n’éliminer personne, conclut « ils retournent à sept au château »… non Nikos, huit, à huit (à croire qu’il n’était réellement pas au courant de la supercherie, le filou).
En guise de dessert, deux morceaux choisis parmi les centaines de commentaires sur la chronique que je vénère, de Kevin Moulback :
« il ai nule pasi comen su la kifai les note la blilé ou venai je roi » : si quelqu’un peut me traduire, j’en serais ravie
« Bien que je ne sois pas un fan de cette émission, loin sans faux » : quand on veut faire usage d’expressions qui en jettent, mieux vaut savoir les écrire…
Vraiment, keskon s’amuse au château.

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