Le PS a dévoilé hier à Créteil sa conception de la sécurité publique: une police qui doit être au service du citoyen et non du pouvoir. C'est la différence entre la droite et la gauche. La prévention et dissuasion sont affichées dans une politique de sécurité urbaine de proximité. Des Contrats locaux seront élaborés avec les populations. Il faudra rendre compte des politiques de sécurité dans les conseils municipaux. Le PS vise également à améliorer la relation police/justice et justice/police Il faut lier ce couple et améliorer les cultures d'appréhension du travail, des missions de chacun. Ce lien rétabli il faudra remettre du lien avec les citoyens et rétablir l'autorité à tous les niveaux ( école - police - justice ) et exemplariser la sanction à son juste niveau et en outre développer les Travaux d'intérêts Généraux. Le PS s'engage également à tenir informées les victimes et de sanctuariser le budget de l'Intérieur en terme d'effectifs. Le PS rend également hommage au travail de fonds des élus locaux dans le cadre de la prévention.
Ce soir un rendez-vous à l'école Edouard Vaillant sur ce thème. Et il me vient à l'esprit la rengaine, à chaque débat public, de notre 13e Vice-Président du CG94, qui aime à citer la mise à pied par Sarko en 2003, à Toulouse, de Jean-Pierre Havrin, mettant un terme à la police de proximité. Et bien JP Havrin était hier présent avec les socialistes à Créteil et il est aujourd'hui adjoint au maire dans l'équipe municipale socialiste de Toulouse. Notre vice-président à d'excellentes références.