A mi-chemin de notre campagne de rapports annuels, il est certainement trop tôt pour dresser un premier bilan. Néanmoins, et ce n’est pas une surprise, les questionnements sur le digital se sont intensifiés en 2010.
Il faudrait quelques heures pour répondre à certaines de ces questions... Cela anime déjà de nombreux débats au sein d’Angie et avec nos clients. Nous y reviendrons j’en suis sur très vite d’ici la fin de l’année. Néanmoins, pour lancer le sujet sur ce BLAG, je me lance et vous livre trois premiers constats sur cette passionnante campagne 2010 :
1/ Le rapport annuel concentre presque toutes les questions qui animent aujourd’hui la communication d’entreprise
Ne serait ce pas la bonne année pour se lancer sur IPad ? La réalité augmentée, est-ce utile ? Et la 3D ? (est ce gadget) ? Ouvrir les contenus aux commentaires, est ce que cela a du sens ? Ne devrions-nous pas être radical et adopter la 100% on line attitude ? etc. etc.
2/ En matière de rapport annuel, la majorité des entreprises semblent avant tout soucieuses d’innovation pour l’innovation
Comment pourrions-nous contribuer à renouveler l’exercice ? Voilà LA question des questions.
Le rapport annuel est un acte souvent formel, un exercice de style. Il s’apparente au moins autant à la publicité qu’à l’introspection stratégique. L’entreprise doit donc s’y montrer sous son meilleur jour, uptodate. Plus que le fond, c’est encore la forme qui fait le plus débat. Au risque de ne pas mettre la forme au service du fond (l’entreprise, son identité, ses messages).
3/ La question du retour sur investissement commence -enfin- à être posée
C’est l’avantage du web : on peut mesure le nombre de visiteurs, et de pages vues... Et le rapporter à l’investissement. Cela permet d’objectiver. Et cela souligne l’importance de la promotion. Nous en avions fait depuis deux ans un de nos chevaux de bataille. Certaines entreprises ont prévu cette année un volet référencement/buzz/promotion dans leur budget. Bravo (et merci) à elles.
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