- Cocorico !! Ca fait pas un peu plouc de crier cocorico quand y a un truc qui est français ?! L’énergie marémotrice utilise comme son nom l’indique la marée et vu qu’en France on possède beaucoup de côtes, on a décidé d’installer une centrale marémotrice à la Rance dans la baie du Mont St Michel (ça me fait penser que je suis jamais allée au Mont St Michel). On parle d’énergie « potentielle » lorsqu’on utilise les variations de niveau d’eau et d’énergie cinétique pour faire en sorte que la marée active des turbines. Malheureusement on dirait bien que le site de la Rance est un site isolé car on sait aujourd’hui que les installations d’exploitation de l’énergie potentielle nécessitent des aménagements importants, qui perturbent les équilibres écologiques des sites d’implantation.
- Quoiqu’il en soit, l’énergie des vagues est une énergie propre qui est encore peu exploitée. Et si l’énergie potentielle est encore à étudier, l’énergie cinétique, on connait : voilà pourquoi on a créé les hydroliennes. Eh oui tout est dans le nom : il s’agit en fait d’une éolienne qui fonctionne sous l’eau. L’hydrolienne utilise donc l’énergie des courants marins. L’avantage de ce type d’énergie est que tout en étant beaucoup plus petite qu’une éolienne, une hydrolienne produit autant d’énergie. On peut également prévoir la production grâce aux éphémérides et ce type d’énergie ne créé pas de pollutions telles que les rejets de CO2 ou les déchets radioactifs. Mais à chaque avantage il y a un inconvénient et forcément ces hydroliennes peuvent perturber le monde marin, le sel de mer attaque également le matériel et vu qu’il y a eu peu de recherches effectuées sur le sujet, la création, la mise en place et l’entretien de ce type de machine reste cher. Pour que vous compreniez mieux comment ça marche, regardez la petite vidéo suivante :
- Mais les hydroliennes ne sont pas le seul type d’énergie qui existe. Il y a aussi l’énergie houlographique. J’adore tout ces noms ultras scientifiques mais ça m’énerve, j’ai pas trouvé de vidéo et moi j’aime voir une vidéo pour bien comprendre. En gros, il s’agit d’aligner une vingtaine de flotteurs qui s’agitent sur l’eau, ce qui permet à une pompe d’être actionnée et de produire de l’énergie. L’énergie houlographique utilise donc le mouvement des vagues en surface.
- Ensuite il y a l’énergie osmotique mais là j’ai décroché. En gros, on installe une centrale en bord de mer. On fait venir de l’eau salée dans un bocal, et dans le bocal d’à côté on met de l’eau douce. Entre les deux bocaux, on installe une membrane semi-perméable et à cause des histoires de sel ou de je ne sais quoi, l’eau douce va aller se mélanger à l’eau de mer. La pression du liquide va ensuite activer une turbine qui produit de l’électricité et l’eau utilisée peut retourner dans la mer !
Magazine Environnement
Après le solaire et les éoliennes c’est maintenant la mer qui m’attire. Enfin pas trop en vrai, j’aime pas vraiment me baigner (ou plutôt exhiber mes jambonneaux en maillots de bain !), et vu que j’entretiens mon teint d’aristocrate, je ne bronze pas mais c’est pas faute d’essayer !