Hugo Chavez
(Image Telesur) Consuelo Gonzales«Je dois reconnaître que le processus avancé par le président Chavez, qui a obtenu la libération unilatérale et inconditionnelle de nos compatriotes, a été efficace». Ce sont les mots du président colombien Uribé, après le succès sans faille de son homologue vénézuélien, Hugo Chavez.
Que dit l'imbécile qui gouverne les Etats-Unis ? Lui, être maléfique et surtout cancre parmi les cancres qui, par ses envolées lyriques et sa logorrhée morbide, ses mensonges et fantasmes a fait croire au monde entier que, El Presidente, est un méchant. Il a réussi là où, des faucons de son espèce, allaient utiliser comme d'habitude, les armes.
(Image Telesur) Clara RojasComment les détracteurs de Chavez ont acceuilli la nouvelle ? Avec la même malhonnêteté intellectuelle. Quel choc moral ont-ils eu les bélliqueux lorsque les premiers mots des ex-otages furent adressés à Chavez ? Ils sont KO debout, massacrés, laminés par l'humanisme et le charisme de l'homme qui se dégage de cette succes story.
Que lit-on sous leurs plumes médisantes ? CHAVEZ SAVOURE SA VICTOIRE. Et alors, est-ce un faux ? Est-ce anormal ? NON. Souvenons-nous, sous les recommandations de l'homme au QI d'huître, président américain, Uribé faillit faire capoter tout. Quel con ! Il est aujourd'hui dans ses petits souliers.
Puisse maintenant souhaiter, après Clara Roja et Consuelo Gonzalez, la libération d'Ingrid Betancourt.
Merci Chavez, tu es un héros, un homme de paix !
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