La belle complexité de l’Être.

Retour dans ces archives, avec bizarre sentiment de nostalgie.

La force de ne pas tenir un “journal”, au sens habituel du terme, remet ici en évidence le bel avantage, en ne s’en tenant qu’au récit, de la profusion de l’imaginaire compris ici comme strates, à la manière de ces couches de peintures de qualités différentes qui finissent pas former une croûte, tantôt quasi géologique, tantôt brouillée, comme si le temps s’était aboli, plutôt que figé.

Il n’y a plus alors aucune volonté de comparaison avec “Le blog qui se tend”, ouvert quand tout allait mal, lors de la grande mutilation qui allait faire du “Blog de Dom A.” un vaste champ de ruines. De toute évidence, le principe en est tellement différent qu’un mixage serait aussi vain que le croisement des Espèces. La chimère serait minable à la façon d’un récit merveilleux, hors du champ de la discipline singulière du fantastique.

Pas de quoi en faire une comédie, mais un drame, oui.