Hadouk Trio en concert à Grand-Couronne

Publié le 12 janvier 2008 par Willy





POUR ECOUTER : http://www.myspace.com/hadouktrio

Le mardi 15 janvier à 20h30 au Foyer Municipal
Plein tarif : 10€  - Tarif réduit : 6€


RESERVATIONS IMPERATIVES au service culturel en mairie ou au 02.32.11.53.55

 
Didier Malherbe < sax soprano, flûtes, doudouk, ocarinas, clarinette alto
Loy Ehrlich < hajouj, kora, awicha, n'goni, claviers
Philippe Foch < batterie, tabla, percussions
 

Ce trio est à l'image de son nom : un collage d'univers et d'idées, créateur d'une ambiance doucement lunaire.

Le Hadouk, c'est le « Ha » de hajouj (basse africaine appelée aussi gumbri), et de le « douk » de doudouk (sorte de hautbois arménien).

Loy Ehrlich joue le hajouj. Ce musicien au multiples talents a rôdé ses claviers auprès de Peter Gabriel ou de Jon Hassell tout en poursuivant de fructueuses aventures africaines avec Youssou N'Dour, Touré Kunda, Geoffrey Oryema ou encore Wasis Diop.

Didier Malherbe s'occupe quant à lui du Doudouk. Le saxophoniste de Gong n'a jamais arrêté d'avancer sur des chemins non balisés auprès d'artistes de caractère comme Steve Hillage, Higelin, Brigitte Fontaine Robert Wyatt ou Pierre Bensusan.

Le dernier larron, Philippe Foch, batteur de haut vol, a travaillé avec Akosk S. Unit, Omar Sosa. Son jeu fait entendre une riche palette sonore grâce en partie à l'étude de la musique indienne.

Ensemble, ils créent un monde fait de racines aériennes, de terres rêvées, un continent imaginaire entre l'Afrique et l'Orient, un rivage improbable entre jazz et world.

  
      "Trois bourlingueurs pour une musique fait main de très haute couture.
Du pur bonheur, jazz de haut-vol, un son oxygéné par des instruments roots : doudouk, pékou,kora, hajouj, djembé, ça tourne en boucle, et ça rabiboche avec la vie. Miracle !" (Rémy KolpaKopoul - Nova)

      "Une certaine idée du swing, nomade espiègle et joyeux, déclinée par trois lascars d'humeur légère et voyageuse, (…) une délicate friandise pour les oreilles...une musique cousue de légèreté dans laquelle défilent les images." (P.Labesse – Le Monde)