Arrestation de 2 journalistes pédophiles aux abords de l'Elysée

Pierre Davet et Gérard Haski ont été interpellés alors qu’ils se promenaient avec des ordinateurs portables dissimulés sous le manteau à proximité immédiate de l’Elysée (dans le 20ème). Il s’agirait de deux journalistes pédophiles, probablement du même type que ceux identifiés avec clairvoyance et lucidité par le chef de l’Etat vendredi à Lisbonne.

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Pédophilie : Le gouvernement va lancer une campagne de prévention et d’information à l’attention des tous petits.

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Pédophilie : Le gouvernement va lancer une campagne de prévention et d’information à l’attention des tous petits.

C’est le RAID, l’équipe d’intervention préférée de la première dame et de tous les membres du gouvernement qui ont une sensibilité artistique pour les gros calibres qui a procédé à cette interpellation. L’opération a été menée sur appel anonyme d’Eric Besson auprès de l’équipe du jour qui se trouvait fortuitement réunie au Bar le Balto, sis 54 rue Fbg st Honoré en train de vendre de gros bouts de STIC à une journaliste des Echos.

Au moment de leur arrestation les deux hommes essayaient d’introduire des choses au moyen d’une clé USB dans un portable qu’ils venaient vraisemblablement d’acheter. Au moins l’un des ordinateurs dissimulé dans l’entre jambes des suspects arborait une pomme, sans doute pour mieux tromper la vigilance du service d’ordre de l’Elysée...

L’analyse du contenu du portable et de la clé a horrifié les membres de l’équipe d’intervention, des hommes pourtant rompus à toutes les situations. Une source proche du dossier nous confie : « Ca fait 15 ans que je fais ce métier, je croyais avoir tout vu : j’ai connu Bernard Tapie dans sa période pauvre, j’ai eu la déclaration d’impôts des époux Woerth entre les mains et c’est même moi qui me suis tapé les comptes de F.M Banier cet été, mais ça, ça dépasse tout ! ».

D’une grosse patte habituée au maniement des chiffres et du tonfa, l’homme

Une clé USB, même de petite capacité, peut devenir une arme redoutable si elle est ">

Une clé USB, même de petite capacité, peut devenir une arme redoutable si elle est "bien" placée.

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Une clé USB, même de petite capacité, peut devenir une arme redoutable si elle est "bien" placée.

écrase une larme sur son visage buriné par les ans (entre autres). Il poursuit dans un souffle : « Ca a l’air de rien une clé USB, mais vous imaginez le mal que son contenu peut faire sur un esprit jeune ? Et si votre fils ou votre fille tombait la dessus et se mettait à le diffuser sur le Internet, vous imaginez ? Vous connaissez les saloperies qu’on trouve sur Internet ? ».

Nous retenons notre souffle.

(Oui nous savons)

La description qu’il fait ensuite dépasse l’horreur : « des mensonges éhontés, des inventions, des histoires sordides de sociétés étrangères –forcément- qui passeraient l’année comptable à se tripoter les flux en se défonçant à coups de lignes comptables. De soi-disant montages avec des enfilades de deux, trois, quatre prête-noms qui feraient des saloperies de bas de bilan dans la moiteur sordide de paradis artificiels. Des allégations pareilles c’est à vomir. Quels esprits malades ont pu inventer de pareilles infamies ? Comme ne manqueront pas de le souligner les com’ du figaro.fr, ces gens là ne sont plus humains, ce sont des animaux ! ».

Les deux journalistes pédophiles avaient été récemment inscrits au FNAEG-J (Fichier National des Assassins, Editeurs Gays et Journalistes). A plusieurs reprises, les forces de police avaient essayé d’entrer en contact pour une simple « visite de contrôle ». En vain !

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Sur les disques durs des inculpés : des images d’une violence insoutenable et même parfois dénormalisée.

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Sur les disques durs des inculpés : des images d’une violence insoutenable et même parfois dénormalisée.

Par respect pour la personne humaine (sic), la préfecture de police a demandé aux journalistes non-pédophiles de ne pas révéler l’identité de ces deux dangereux récidivistes qui sont toujours « présumés innocents » (lol !).

Parce que la rédaction de Brave Patrie n’aime rien tant que de faire plaisir aux forces de l’ordre nous avons modifié les prénoms des toujours-pas-inculpés.

Toutefois, dans un soucis de transparence et pour garantir la libre expression des légitimes sentiments des citoyens face à la pédophilie (comme l’ont naguère fait nos prestigieux confrères britanniques), nous sommes en mesure d’apporter quelques détails : ainsi la fille du premier interpellé est en 1ère L au lycée Rosa Luxembourg, 106 rue de la Pompe, Paris 16 [1]. Elle a cours d’anglais, salle B6, demain de 8h à 9h. Quant au fils du futur inculpé, il est en classe de maternelle préparatoire, grande sanction, au 114-116, avenue du Maine, 75014 Paris. Sa nourrice passe le prendre tous les soirs de la semaine à 16h45.

Fait troublant : les prénoms de ces deux enfants commencent par la lettre P. P comme … « pédophile » ou « palimpseste » : des détails pour le moins troublants (et assez sales aussi un peu) !

Notes

[1] M. Kala nous précise par ailleurs qu’elle est « assez bonnasse ».