Comme moults d’entre vous se sont empressés de me le signaler, le pouls de Turpitudes est en ce moment faible, dangereusement faible même.
Ô coupable et cruelle actualité qui dans son flot incessant, fait qu’un simple interlude d’un mois, apparaît alors comme un retard insurmontable, un obstacle infranchissable ; entreprise gargantuesque se dressant devant moi, je te vaincrais non sans peine mais je te vaincrais.
Mais le combat n’est-t-il pas perdu d’avance cher(s) turpitudien(s) ? Il me suffira de tourner le dos un bref instant pour que cette fouttue et diabolique actualité s’emballe et se déchaîne à nouveau, me laissant une nouvelle fois las et épuisé, écrasé sous un flux d’informations toujours plus important, toujours plus rapide, toujours plus assommant !