et un canal de jonction entre la Haute et la Basse Deûle.
Il y a aussi l'Arbonnoise et le Becquerel, leurs multiples bras, les fossés des fortifications et des canaux creusés de main d'homme...
Peu profonds, tous ont une odeur fétide car ils sont surtout des égoûts altérés par les déjections ménagères et les résidus industriels.
A partir de 1870, on songe à les recouvrir. Les particuliers couvrant à leurs frais la portion de canal jouxtant leur habitation en obtiennent l'usage du terrain.
A la veille de la Grande guerre, il ne subsiste que quelques canaux. les derniers disparaîtront sous la Municipalité Salengro.
D'après Ph.Marchand: Lille, "D'un millénaire à l'autre"

