La taille 0...Ou pas !

J'ai une confidence pour confidence à vous faire (remember Jean Shulteis roi des chansons machos des années 80) : JE NE SUIS JAMAIS RENTREE DANS UN PANTALON TAILLE 34 (ou peut être quand j'avais 8 ans) . Voilà, c'est dit.

Pire qu'un cockatil molotov je pense que le cocktail hérédité/j'aime la bouffe/déteste/le/sport/quand/c'est/trop/dur y est pour quelque chose.

Alors voilà toute la vérité : je ne me nourris pas de graines et de poudres hydrogénées, ni encore même de cupcakes allégés. Pire encore : je suis une gourmande avérée et assumée (encore un peu et j'écris cet article en alexandrins).

Chaque année tous les magazines nous bassinent avec les régimes miracles, les régimes des stars, les régimes proteinés et autres diètes intenables ou bien encore, la tendance inverse : Beth Ditto est chez Gaultier assumez- vous les filles ! Mouais...

Et là, je vous vois venir avec vos gros sabots « Non mais elle s'est prit pour le Dr Ducan ou elle bosse pour SlimIce (celui qui vous fait perdre 4 tailles en 30 minutes... Allez voir ça vaut le coup d'oeil) »

Mais il n'en est rien. Les galons de la mode ne se gagnent pas au kilo perdu. Il faut simplement savoir s'habiller en fonction de sa morphologie. Je m'explique : sur ma liste de Réjane tu forget/forgot/forgotten :
- Le jean taille basse (Et pourtant Dieu sait que je me suis boudinée à l'intérieur pendant des années)
-Toute sorte de legging/caleçons imprimés
-La robe « tube » (années 80)
-Les Baskets (en tout genre)
-Les pantalons blancs etc...

Comme disait le saint précurseur de tendances qui ne le savait pas lui même à l'époque, j'ai nommé Socrate : « Connais toi toi même » (ça te permets de t'acheter des fringues qui te vont)