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Jean-Luc nous donne de ses nouvelles !

Publié le 08 décembre 2010 par Maurice Puault

 

Pour François Le Cornec et Maurice Puault, un mot en passant.

J.L. Abiven (Image pour article) 2

Romainville, le mardi 7 décembre 2010

(il a neigé aujourd'hui)

Vous me faites plaisir, les amis, en vous inquiétant l'un et l'autre de ce que je deviens.

( http://lesgrands-champs.over-blog.com/article-propos-du-pere-fran-ois-06-12-2010-62536282.html )

C'est une forme d'amitié étonnante et nouvelle pour moi puisque nous ne nous sommes toujours pas rencontrés, et que cette sympathie vient de nos mots échangés ou entrecroisés. Je ne vais bientôt plus en douter : Internet fabrique une sociabilité inconnue jusqu'alors.

Rassurez-vous, je me tiens toujours dans les parages, fidèle à l'observation des heurs et malheurs de notre commune. Et fidèle lecteur de toutes vos interventions.

Si je me souviens bien, mes dernières contributions datent d'octobre avec, entre autres, ma supplique à vous, François, pour ne surtout pas laisser tomber. Ironie de la chose, c'est à ce moment-là que j'ai dû décrocher, surchargée soudainement de travail (il apparaît de plus en plus que le monde du travail a changé, et qu'il se partage à présent entre « pas de travail » et « trop de travail » ; je passe, comme beaucoup d'autres, de l'un à l'autre). Depuis lors, je n'ai plus aucun moment pour écrire correctement, c'est à dire en prenant le temps de le faire de façon correcte. Seul m'est resté le temps de lire vos informations et commentaires, et ceux des autres blogs, et de rédiger pour moi-même quelques notes rapides. Pris par mon travail actuel, je m'interdis même certains jours de penser quoi que ce soit des événements nouveaux, pour ne pas que mon esprit s'égare hors de la concentration que réclame ce travail. J'espère pouvoir m'en libérer avant la fin de ce mois.

Si vous saviez comme je bous parfois de ne pouvoir faire avec vous ma part de guérilla politique. Je parle de guérilla pour exprimer le fait que, lorsque la politique, confisquée par certains salariés de la politique, tourne à la mayonnaise rance (comme à Romainville ou Noisy-le-Sec), il n'y a plus, je crois, de ligne de front possible. Il reste aux citoyens que nous nous honorons d'être à endosser le rôle de franc-tireur, pour tenter de reconquérir pied à pied les territoires perdus de la politique, de cette seule politique qui nous soucie : la vie décente des hommes dans la cité humaine.

Salut François, salut Maurice. Et merci de faire ce travail de citoyen, car vous donnez l'exemple.

Jean-Luc Abiven


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