Maximilien Aue, directeur d’une entreprise de dentelles en France, nous raconte son histoire. Allemand de naissance, il a participé à la seconde guerre mondiale. Il était SS… et homosexuel.
Ce livre, autobiographie fictive, recueil de souvenirs de guerre et plus personnels, composé de 7 parties, est assez lourd à lire. Peu d’espace et des idées, des images assez choquantes, comme lorsque Max Aue se lave les mains de ses actes. Rien de ce qu’il a commis n’est de son fait dit-il dès le début du livre. Il ne faut pas lui reprocher ses actes car il ne pouvait pas faire autrement. Il défit même le lecteur de dire qu’il aurait agit différemment dans le même contexte.
C’est un livre que seuls les lecteurs acharnés liront jusqu’au bout mais qui se révèle malgré tout très intéressant, aussi bien au niveau historique que de l’intrigue puisque Aue se retrouve au cours du livre suspect lors d’une enquête policière, au cours de la guerre.
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