Or, les plans de rigueur sont loin d'avoir fait leurs preuves... Et on commence à se demander si le peuple va longtemps tolérer d’être le dindon de la farce.
L’auteur de l’article reproche à M.Berlusconi de ne pas avoir fait les réformes structurelles libérales dont la crise aurait facilité le passage.
Ça en dit peut-être plus long sur le libéralisme et sur l’esprit des réformes actuelles que sur M.Berlusconi. Elles ne sont pas une solution à la crise, mais la crise est leur excuse ? Elles sont idéologiques, et ultralibérales ?
D’ailleurs M.Berlusconi est depuis toujours la bête noire de tous les libéraux, The Economist en tête. Et s'il y avait derrière cette haine autre chose qu’une réaction de la vertu outragée ?
Compléments :
- Par ailleurs, j’ai constaté que les bons politiques sont des « survivants », ils savent que ce qui compte est de durer (cf. Clinton). Pour cela tous les coups sont permis. Ce sont les vainqueurs qui écrivent l’histoire.