Une salle Marcel Pigou ne profite qu'au seul mouvement sportif

Pourquoi donc cette référence à Marcel Pigou me demandent certains? Car il est une évidence où le sport devient le pivot d'un lancement de campagne! Quelle campagne? Celle de mars 2011 autour du canton Est de notre ville. Et quel meilleur support de poids que de s'appuyer sur une popularité ancrée sur les quartiers en lui décernant un honorifique présent en attribuant à la nouvelle salle de sport son nom. Simple et réglé comme sur du papier à musique. Simple? Pas tant que cela à la vue de certains arguant de bonne foi quelques réserves semble t-il justifiées entre autre par le fait que le récipiendaire est un employé municipal er que cette qualité qui ne retire rien à son talent peut créer quelques gênes avec ses collègues... Et tout cela est confortablement politique au point qu'à cette inauguration la seule présence de trois élus de la majorité était remarquée avec un discours courtoisement appuyé du conseiller général. C'est la campagne et le starter a donné le départ. Faux départ ou départ précipité. Au regard de la fable il faudra tenir compte de l'approche pragmatique du terrain, de la connaissance des dossiers et surtout de l'implication de Madame Avognon-Zonon dans ce qui donne du sens à l'action politique: l'intérêt général devançant toutes les promesses lui permettant ainsi de ne pas se trouver dépourvue et de devoir rendre les comptes de ce qui n'a pas été tenu.

Cette campagne, loin des terrains et salles de sport, qui se place dans la droite ligne du geste des élus du Parti Socialiste au dernier Conseil Municipal

En conclusion voilà pourquoi une salle Marcel PIGOU qui a tant donné au sport et à Fontenay était un bon choix! sur des sujets qui sont pour nous des marqueurs politiques depuis le début du mandat : l'équité, la transparence , les bonnes pratiques de gestion et nous plaçant au coeur de cette majorité municipale pour tenir nos engagements commun et être les mieux à même de combattre la droite au Conseil Général avec la rigueur politique qu'elle ignore dans sa gestion calamiteuse et douteuse  des affaires de la République.