Drague 2.0

Ce nouveau réseau social permet aux étudiants américains de communiquer entre eux. De quoi les motiver à passer plus de temps à la bibliothèque…

Une suite logique

Likealittle pourrait être une contraction de plusieurs sites. Le blog nouvelles technologies Figaro s’est amusé à répertorier tous les réseaux sociaux dont il découle. Sur Dilelui, le premier site permettant de retrouver une personne croisée au hasard d’un voyage en train ou d’une virée en bus, on s’envoie déjà des SmOS, contraction de SMS et SOS. Une façon de déclarer sa flamme, derrière son écran, à des inconnus sur lesquels on a flashé. Facebook n’est plus à présenter, tant il est devenu mondialement connu. Reliant près de 500 millions de personnes dans le monde entier, ce réseau social est devenu un incontournable du web. Likealittle, c’est en quelque sorte le « bébé » des deux.

Le principe

Contrairement à Dilelui, Likealittle est réservé aux étudiants inscrits en université afin qu’ils correspondent entre eux. Grâce à leur adresse email, ils peuvent s’inscrire dans la page dédiée à leur fac. Ils rédigent ensuite leur « crush » (compliment), en indiquant si l’objet de leur désir est un homme ou une femme, et en précisant la couleur de ses cheveux. Chaque université possède sa propre page, avec plusieurs rubriques pour chaque lieu : bibliothèques, résidences universitaires, bars, etc. Tout cela afin de localiser les participants et leurs cibles. Certains étudiants sont déjà accros, et n’hésitent pas à consulter ce qui a pu être dit sur eux après leur passage à la bibliothèque.

Lauren Clerc