On annonçait hier que les signaux cérébraux d’un singe aux États-Unis avait pu contrôler la locomotion d’un robot au Japon. Le reportage ci-haut montre les explications du chercheur de l’Université Duke ayant dirigé le projet. J’aurais bien aimé voir le singe dans le vidéo…
C’est un résultat qui peut être encourageant pour ceux qui souffrent de paralysie mais qui ont encore toutes leurs capacités intellectuelles, comme M. Bauby dont l’histoire est racontée dans l’excellent film Le scaphandre et le papillon.