Charmouta !
Je ne pouvais pas commencer ce bilan 2010 sans charmouta, le mot à la mode dans les rues du Caire avec Mooooza ou Ahcel (le miel).
Il m’est un peu difficile de faire un « vrai » bilan de l’année puisqu’on pourrait presque la couper en deux : avant et après l’été. Comme on peut le voir sur les graphiques de wikio. (oui, ça y est, j'ai compris comment ça marche !)
L’avant été c’est l’avant twitter
Je ne m’en servais que pour lire tant les blogs que les liens vers les médias. Je commentais de temps en temps les billets. Aujourd’hui, je participe, je commente, je poste. A tel pont que mon premier backlink date du mois d’août mais qu’on ne s’y es vraiment mis qu’en octobre.
Idem pour les liens, quelques uns de janvier à août, pas grand chose, il explosent vraiment en décembre.
Par conséquent, les articles les plus lus datent de ces trois derniers mois. Mais via twitter, je me fais surtout plaisir à échanger. Si cela influe sur le nombre de clics, c'est cool mais je n'y suis pas pour ça. (oui, promis, un jour, je vous explique).
Mais pas que !
Certains pics de l’année ne sont pas liés à twitter…
Et c’est là qu’on en revient au titre. En effet, mis à part le billet sur Hitler qui a comptabilisé un record de clic surtout après le retweet de Rubin, ce sont les billets sur la frustration qui arrivent en tête de la relecture.
Pourquoi ? Pas juste parce qu’ils tournent.
Si je me penche sur mon interface… non, un peu plus… voilà.
Je m’aperçois que faire fonctionner mon petit brain de bloggueuse m’a permis d’enregistrer quelques visites.
J’avais noté, il y a quelques mois, que le billet Charmouta enrigistrait pas mal de clics et, sur mon interface, je m’aperçois tous les mois que ce mot fait vendre ! A l’instar de Nicolas et de ses photos e Paris Hilton ou du petit gamin qui danse, chez moi, la charmouta rapporte 48% de clics ce mois ci, 42% le mois dernier…. Vous me suivez ?
Héhé !
J’ai fait exprès de tagguer les photos d’illustration et ça a marché pour faire gonffler les scores. Moralité, plutôt que de me morfondre et de souffrir de la frustration ambiante, j’ai décidé de me servir des môssieurs frustrés égyptiens pour générer du flux. Parce que oui, c'est une réalité.
Et ça marche !
Alors, il en dit quoi notre Nicolas ? Elle donne quoi, la petite apprentie ?
A noter (et là, ça m'a fait plaisir) la série sur le racisme a très bien marché.