Avant, j'étais un gros tas mou

1. Ceci est une (vraie) publicité. Des gens ont été "grassement" payés pour la créer. 2. Le titre et l'illustration n'ont aucune espèce de rapport avec la choucroute (le billet qui suit)
Pré-scriptum : Quand je n'ose pas signer mes âneries, je les publie à côté. Mais depuis que Xavier de RueDuCommerce.com et moi filons le parfait amour, je n'ai plus honte à vous proposer de lire ma bêtise de Cambrai (déjà sucée par 353 internautes ébaubis... ou 353 fois par le même internaute ébaubi).
Saut de ligne.
Histoire de nous prendre davantage pour des couillons, nos amis publicitaires ont donné un prénom (et parfois un nom) aux robots qui nous inondent de mail. Car il s’agit de (nous faire prendre des vessies pour des lanternes) nous empêcher d’envoyer directement à la poubelle leur défécation cybernétique… et sexiste.
Stéphanie de Vacances Réussies ; Patricia de Femme Actuelle ; Emilie de Newsvoyages ; Jessica Mallet ma conseillère crédit ; Gaëtan de Motobluz ; Hervé de Côté Apéritif.com ; etc. (vous aurez de vous-même fait le rapprochement avec les centaines de mails qui inondent votre corbeille)
Car c’est forcément Hervé qui tient le comptoir de Côté Apéritif.com et non Patricia ; Patricia derrière le comptoir, non mais ça va pas bien la tête, ça induirait que Patricia s’adonne à la boisson, mon Dieu quelle horreur, une femme ne boit pas voyons, ça se saurait. Hic !
Flûte, zut, crotte, après enquête mon argumentaire à la noix se casse la binette. Hervé de Côté Apéritif point com existerait. Dingue ! Là, il faut que je m’asseoie et que je me serve un bon p’tit cognac. Hic bis !