Quand j'avais 13 ans, j'ai commencé à collectionner les têtes de mort en tout genre : sur une chemise en strass, sur ma trousse au collège... Puis quelques années plus tard sur mon grille pain, et puis, les bijoux.
A un moment même, j'avais 15/16 ans, je rêvais de me faire tatouer une tête de mort sur mon poignet gauche (avec le recul, heureusement que je ne l'ai pas fait !). Tant est si bien qu'au début de notre histoire, l'Homme a cru que j'étais gothique ou que j'avais un soucis avec la mort. Cette fascination que j'ai pour les têtes de mort, je ne la trouve pas morbide : je trouve les vraies têtes de mort effrayantes, seulement, je les préfère dessinées. 10 ans plus tard, je les aime toujours et incapable d'expliquer pourquoi.
Bracelet Thomas Sabo perdu
Mes amis, connaissant mes goûts, m'ont offert un joli bracelet Thomas Sabo, dont le charm est malheureusement tombé un jour dans Paris, sans que je m'en rende compte.
J'ai donc cherché à le remplacer et au détour d'une conversation, j'ai fini par demander à Sandra des Dissonances de me créer un petit bracelet personnalisé, avec 5 têtes de mort.
Bracelet les Dissonnances + pochette tête de mort - Photo de Nico
J'ai aussi un pendentif en or de chez Agatha, que je n'ai malheureusement pas encore porté car il me manque la chaine qui va avec.
Je ne sais pas quand me passera cette fascination, mais j'ai toujours autant de plaisir à voir mes proches me sortir un "tiens, j'ai pensé à toi" quand ils regardent un bijou ou un motif avec une tête de mort...
Bague de Marie
Mon bracelet Dissonance
Bottes Zadig & Voltaire, shootées à Stockholm
Qui a dit qu'on ne pouvait pas être féminine en portant sur soi un motif tête de mort ?