Je viens de terminer le dernier Bret Easton Ellis et je me dis, encore une fois, que j’aime vraiment cet écrivain. C’est le genre d’auteur qu’on lit perplexe, en se demandant, parfois, comment on peut apprécier des livres si plein de vices et de violence (sous toutes ses formes). Peut être parce qu’on y entrevoie une certaine réalité, un penchant de l’Homme… Pffffff …. Soyons honnête, outre le fait que le vice passionne l’Homme depuis une éternité, c’est surtout parce qu‘il est doué ce Bret à écrire sur la vie désenchantée du monde bling bling (voir mon post sur son livre d’avant « Lunar Park », excellent d‘ailleurs).
