Il faut parfois être ferme avec les gens dont on partage...

Il faut parfois être ferme avec les gens dont on partage l’espace de vie. S’ils veulent vivre dans leur odeur abjecte, inch allah, mais qu’ils ne viennent pas pourrir mon groove. Je veux que ça sente le printemps et les sourires d’enfants moi, pas des relents de raclette à l’encens. Le pire dans l’histoire, parce qu’il y a toujours un pire, c’est qu’il faut en fait leur dire - leur écrire! - de fermer la porte, leur préciser que c’est une alternative certes simple mais audacieuse en vue de créer une isolation précaire bien que temporaire face aux effluves qui n’ont cesse de nous tourmenter en ces journées de janvier.

Je viens d’éclairer leur lanterne, ils sont passés de “Olala qu’est-ce que ça fouette ici, hahaha” à “Hé, en fait on ne sent rien quand la porte est fermée… Mais ça a quelle odeur l’âne malade, c’est n’importe quoi ce message!!”. 

Prochaine leçon: leur apprendre à ferme la porte des toilettes.