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Love… et autre drogues

Publié le 20 janvier 2011 par Laviereveedunefee

La motivation principale, malgré les critiques pas tip top, pour aller voir ce film fut pour ma part de pouvoir matter le fessier de Mr Gyllenhall qui hante mes nuits depuis.

Synopsys by AlloCiné

New York, les années 90. Jamie est un jeune commercial redoutable dont l’assurance – et le physique avantageux – sévissent aussi bien auprès des femmes que dans l’univers implacable de l’industrie pharmaceutique où, entre antidépresseurs et dopants sexuels, il parvient finalement à tout vendre.
Mais il y a une personne qui semble insensible aux charmes de Jamie : Maggie. Une jeune femme très séduisante et furieusement indépendante qui, comme Jamie, fuit l’engagement émotionnel, mais pour des raisons très différentes. Elle est atteinte d’une maladie chronique et a décidé de vivre uniquement au jour le jour.
Malgré eux, ce qui devait être une histoire sans lendemain va alors s’intensifier. Tous deux vont bientôt voir leurs principes respectifs malmenés et devenir accros à la plus puissante des drogues qui soit : l’amour.

Love… et autre drogues

Bon, se fier aux critiques est parfois une bonne chose… J’aime les comédies romantiques, c’est un fait avéré. J’ai l’esprit critique d’une mouche neurasthénique, surtout quand l’histoire = beau gosse + joli minois féminin + histoire d’amour so romantic. Mon côté fleur bleue toussa.

Sauf que là, excusez-moi du peu mais de qui se moque-t-on ? Jamie est censé être le plus gros serial fuckeur de la région et c’est plutôt normal vu sa belle gueule et ses techniques de drague. Alors POURQUOI tombe-t-il amoureux de la jolie Maggie en 3,8 secondes sachant qu’elle est malade ? (et oui niveau suspense, faudra repasser pour le « je cache ma maladie à mon amoureux » de d’habitude)

A part leurs sessions de sexe torride qui font plus qu’envie à la vue du corps sculptural de Jake et des superbes seins d’Anne, l’histoire est plate, on s’attend d’avance à ce qui va se passer, les personnages secondaires sont plus que secondaires, les prises de tête réglées en 10 secondes. Rien de culte dans ce film…

Alors que franchement, sur le papier, ça aurait pu être marrant si on avait mis le côté culcul de côté et misé sur le fait qu’un chaud lapin rencontrant une chaude lapine se voit piégé à son propre jeu. Que pour une fois, c’est elle qui le fera courir (la seule fois où elle c’est effectivement le cas est dans bande annonce, après leur séance de baise torride). Qu’il fait partie d’un milieu où il se fait un max de fric ce qui alimente son côté salaud. Bref, nous mettre en face de ce que nous pauvres mortelles affrontons tous les jours dans le genre connard.

Mais c’est juste de la guimauve transmettant en gros ce message : « non, non, ne tombe pas amoureux de moi, je suis malade, mais bon si t’insiste ». Naze.

Donc recommandation si lors d’un samedi soir vous tournez en rond chez vous et que vous voulez vous rincer les yeux, Mesdames avec Jake, Messieurs avec Anne.

Sinon abstenez-vous !

Edit : Urgent, j’ai commandé par erreur SVR Chronolys Crème bonne mine, et avant de le renvoyer à mes frais, je préfère le proposer un peu moins cher qu’à l’achat si jamais quelqu’un ici est intéressé par ce produit. Vous pouvez le retrouver là. Merci

:)



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