Magazine High tech

Jeux Cultes : The Nomad Soul - Conclusion

Publié le 20 janvier 2011 par Ankitoni

Bandeau_Nomad_Soul_copie

Clic 1ère partie ! Clic 2ème partie ! Clic 3ème partie !

Heavy Rain fait couler beaucoup d'encre depuis sa sortie. Tout le monde se plait à donner son avis sur le jeu, et parfois au passage, sur son "ébauche", Fahrenheit.
Tout ça m'a bien donné envie de revenir aux sources...
Si Fahrenheit est un jeu à part et m'a fait vivre quelques uns de mes meilleurs moments de "petit gamer" (les 3 premières heures principalement !), The Nomad Soul, première tentative de Quantic Dream et de David Cage, mérite bien plus que ce statut d'œuvre de jeunesse dont on pourrait innocemment l'affubler.
J'irai d'ailleurs bien plus loin : la première marche vers une révolution vidéoludique n'est pas Heavy Rain (pour qui elle a été proclamée autant à juste titre que pour des raisons marketing) : c'est The Nomad Soul...
L'obsession de Quantic Dream était alors de tout rendre possible : monde ouvert et exploration, interaction avec un maximum d'éléments de l'environnement, phases de shoot, phases d'enquête, phases de combat et apprentissage de techniques de combats, dialogues avec choix multiples, plusieurs personnages jouables avec leurs propres caractéristiques, bref... du  gameplay ! (je crois bien entendre s'étouffer les détracteurs de Cage, non ?) Même s'il est vrai au final que la plupart de ces points n'était pas maîtrisé, je n'ai aucune envie de vous en donner le détail.  Tout cela n'a simplement jamais nui outre mesure à mon expérience, repêchée au delà de toutes espérances par d'autres aspects plus éthérés voire indéfinissables.
David Cage soulignait dans une interview la naïveté de cette démarche de pastiche... Possible que l'on puisse en parler de la sorte. Mais qui s'est risqué à telle entreprise depuis The Nomad Soul ? Pas grand monde...
Bien plus que cette variété, c'est l'atmosphère qui se dégage d'Omikron (monde où se déroule The Nomad Soul) qui vous prend à la gorge, qui vous absorbe. J'ai fini Heavy Rain. Ce jeu est somptueux, il m'a marqué voire pire, il m'a traumatisé à certains égards, mais rien de comparable à ce que j'ai pu ressentir il y a 10 ans (déjà !) avec The Nomad Soul.
The Nomad Soul est une expérience inoubliable qui porte l'imaginaire, transcendée par une OST signée Bowie (ah enfin on en parle !), ainsi que - on ne souligne jamais assez - par un sound design ahurissant. Oyez amis gamers, qui jamais n'avaient vu Omikron, laissez-vous tenter par The Nomad Soul, laissez-vous engloutir par Anekbah, Jaunpur et Lahoreh : vous pourriez bien être surpris par le travail de Quantic...   

Quelques screens maison pour finir ! The Nomad Soul n'est pas un jeu à la 1ere personne mais permet de basculer sur cette vue ponctuellement, et ça fait de meilleures "photos" !

Bonus_NomadSoul1
Bonus_NomadSoul3
Bonus_NomadSoul4

Bonus_NomadSoul5
Bonus_NomadSoul7
Bonus_NomadSoul8

Bonus_NomadSoul9
Bonus_NomadSoul10
Bonus_NomadSoul11

Bonus_NomadSoul13


Retour à La Une de Logo Paperblog

A propos de l’auteur


Ankitoni 13 partages Voir son profil
Voir son blog

l'auteur n'a pas encore renseigné son compte l'auteur n'a pas encore renseigné son compte

Dossier Paperblog