Verrines d’Ananas Rôti aux Epices

Par Tartinejeanne

Cela fait un petit bout de temps que je souhaitais marier l’ananas au spéculoos, le biscuit de mon enfance, de ma région, de mon pays, dans un petit dessert frais. Ces verrines m’ont semblé être tout à fait parfaites pour accueillir cette association. Tout simple, très bon !

 

Les ingrédients pour 4 personnes:

½ ananas

20cl de crème entière

60g de sucre glace

20g de beurre salé

8 spéculoos

1 cuiller à soupe de miel

1 sachet de sucre vanillé

1 pincée d’étoile de badiane moulue

1 pincée de cannelle moulue

1 pincée de muscade moulue

1 pincée de cardamome moulue

1 pincée de gingembre moulu

1 pincée de poivre concassé


Préparation
1.
Couper l’ananas en petits dés. Emietter les spéculoos.

Je mets mes spéculoos dans un sac congélation et je tape dessus avec une boite de conserves sur le plan de travail. Très efficace. Attention toutefois aux petits trous qui peuvent apparaître dans le sac si l’on s’acharne un peu trop…

2. Dans une sauteuse, faire fondre le beurre et y jeter les dés d’ananas. Ajouter les épices et laisser rôtir 2 à 3 minutes. En fin de cuisson, ajouter le sucre vanillé et le miel, remuer le tout. Réserver.

3. Battre la crème en chantilly et y ajouter le sucre glace au fur et à mesure.

4. Dans chaque verrine, ajouter les dés d’ananas tièdes, déposer un peu de crème chantilly, et enfin le spéculoos émietté.

Servir immédiatement.

On pourra aussi préparer les verrines à l’avance en ne déposant que l’ananas et la crème et les réservant au réfrigérateur jusqu’à dégustation. On ajoutera le spéculoos seulement au moment de servir pour éviter que celui-ci ne se gorge d’humidité.  

Voici encore une recette qui s’accordera très bien avec un Barsac, (faisant partie de l’appellation Sauternes), vin blanc liquoreux du bordelais. Les épices de la verrine rappelleront celles du vin. Mais l’on pourra aussi sortir de Bordeaux, et pourquoi ne pas aller flâner du côté de l’Alsace avec un Gewurztraminer moelleux. Là aussi les épices seront eu rendez-vous, peut-être même davantage qu’à Barsac…