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Des yeux, des doigts, fallait bien que ça pète un jour...

Publié le 28 janvier 2011 par Marigotine

 

                         Il jouait du piano debout....

   Et surtout à marée basse!

Un piano à queue est mystérieusement apparu cette semaine sur un banc de sable, dans la baie de Biscayne, au sud de Miami, sans que les autorités ne puissent expliquer les raisons de cet échouage peu banal. L'instrument, qui pèse près de 300 kilos, est placé à l'endroit le plus élevé du banc de sable, ce qui lui permet de ne pas être immergé à marée haute.
Un piano à queue est mystérieusement apparu cette semaine sur un banc de sable, dans la baie de Biscayne, au sud de Miami, sans que les autorités ne puissent expliquer les raisons de cet échouage peu banal. L'instrument, qui pèse près de 300 kilos, est placé à l'endroit le plus élevé du banc de sable, ce qui lui permet de ne pas être immergé à marée haute. (Joe Raedle/AFP)    Le doigt du :    J'en peux plus, j'en veux plus, et surtout on en veut plus....      L'oeil du:    Tu vas enfin comprendre que maintenant faut que ça change...
<b></div>LE CRI DU PEUPLE.</b> Quinze jours après la fuite de leur président en Arabie saoudite, les Tunisiens continuent de se heurter régulièrement à tous ceux qui servaient– peu ou prou –« le clan Ben Ali ».Qu’il s’agisse de policiers, comme ici, ou d’élus locaux, de politiciens, de chefs d’entreprise ou d’institutions... mais sans que nul ne sache par quoi ni par qui les remplacer. Certains« contre-manifestants » ont d’ailleurs commencé à dénoncer« l’anarchie » ou à réclamer «la réouverture des écoles».Mais dans les rues, ce n’est pas ce courant-là qui domine. On y voit essentiellement des villageois qui, trop longtemps sommés de subir et de se taire, s’y regroupent avant tout pour hurler leur colère. LE CRI DU PEUPLE. Quinze jours après la fuite de leur président en Arabie saoudite, les Tunisiens continuent de se heurter régulièrement à tous ceux qui servaient– peu ou prou –« le clan Ben Ali ».Qu’il s’agisse de policiers, comme ici, ou d’élus locaux, de politiciens, de chefs d’entreprise ou d’institutions... mais sans que nul ne sache par quoi ni par qui les remplacer. Certains« contre-manifestants » ont d’ailleurs commencé à dénoncer« l’anarchie » ou à réclamer «la réouverture des écoles».Mais dans les rues, ce n’est pas ce courant-là qui domine. On y voit essentiellement des villageois qui, trop longtemps sommés de subir et de se taire, s’y regroupent avant tout pour hurler leur colère. " title="Des yeux, des doigts, fallait bien que ça pète un jour..." />LE CRI DU PEUPLE. Quinze jours après la fuite de leur président en Arabie saoudite, les Tunisiens continuent de se heurter régulièrement à tous ceux qui servaient– peu ou prou –« le clan Ben Ali ».Qu’il s’agisse de policiers, comme ici, ou d’élus locaux, de politiciens, de chefs d’entreprise ou d’institutions... mais sans que nul ne sache par quoi ni par qui les remplacer. Certains« contre-manifestants » ont d’ailleurs commencé à dénoncer« l’anarchie » ou à réclamer «la réouverture des écoles».Mais dans les rues, ce n’est pas ce courant-là qui domine. On y voit essentiellement des villageois qui, trop longtemps sommés de subir et de se taire, s’y regroupent avant tout pour hurler leur colère. " border="0" /> LE CRI DU PEUPLE. Quinze jours après la fuite de leur président en Arabie saoudite, les Tunisiens continuent de se heurter régulièrement à tous ceux qui servaient– peu ou prou –« le clan Ben Ali ».Qu’il s’agisse de policiers, comme ici, ou d’élus locaux, de politiciens, de chefs d’entreprise ou d’institutions... mais sans que nul ne sache par quoi ni par qui les remplacer. Certains« contre-manifestants » ont d’ailleurs commencé à dénoncer« l’anarchie » ou à réclamer «la réouverture des écoles».Mais dans les rues, ce n’est pas ce courant-là qui domine. On y voit essentiellement des villageois qui, trop longtemps sommés de subir et de se taire, s’y regroupent avant tout pour hurler leur colère. (Paul Hansen/Scanpix Suède/SIPA)    Non s'il te plait ....
   Regarde bien mon doigt!
   N'avance plus, et je te promets que je te lache le poignet!
Dans le centre du Caire, mercredi 26 janvier, des affrontements ont opposé des policiers et des manifestants venus exprimer leur souhait de changement de politique. Au lendemain de la «journée de colère», les autorités égyptiennes avaient pourtant fait savoir qu'elles ne tolèreraient pas de nouvelles manifestations anti-gouvernementales.
Dans le centre du Caire, mercredi 26 janvier, des affrontements ont opposé des policiers et des manifestants venus exprimer leur souhait de changement de politique. Au lendemain de la «journée de colère», les autorités égyptiennes avaient pourtant fait savoir qu'elles ne tolèreraient pas de nouvelles manifestations anti-gouvernementales. (Amr Abdallah Dalsh/REUTERS)    Non, mais j'ten ficherai 
   De vouloir me prendre pour une "Girl" du Lido!  Et tu vas voir si je vais me mettre la tête dans le sable ...    et attendre que ça passe!   
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LA REVANCHE DU BIP BIP. On sait depuis longtemps, grâce au célèbre dessin animé Bip Bip et le Coyote, que le «road runner» (oiseau coureur) n’a pas grand-chose à redouter des appétits du coyote. Mais s’il lui échappe toujours, c’est uniquement par la ruse et la vitesse, faute de faire le poids, étant donné que le grand géocoucou américain qui a inspiré son personnage est à peine plus gros qu’une bécasse. Tandis qu’ici, dans cette scène photographiée au Kenya, l’autruche est non seulement trois fois plus lourde que le guépard, mais elle court presque aussi vite que lui. Autant dire qu’il fallait être vraiment stupide – encore plus que le coyote ! – pour avoir songé à s’attaquer à ses petits. (Paul Goldstien/Visual Press Agency)                                            Tu veux m'fumer chef!       
Ce policier poursuit un sanglier qui a semé la terreur en s’introduisant dans un hôpital de Taï-Yuan, capitale de la province du Shanxi, en Chine, dimanche 23 janvier. Après plus d’une heure de chasse, l’animal a été abattu par balle.
Ce policier poursuit un sanglier qui a semé la terreur en s’introduisant dans un hôpital de Taï-Yuan, capitale de la province du Shanxi, en Chine, dimanche 23 janvier. Après plus d’une heure de chasse, l’animal a été abattu par balle. (Quirky China News/Rex/REX/SIPA)    Peut-être un peu givré?    Voire même beaucoup....
<b></div>LES CASCADEURS DE L’IMPOSSIBLE.</b> On n’en voit qu’un, mais ils sont deux à avoir réussi l’ascension de cette impressionnante cascade de glace norvégienne, presque aussi haute, à 10 mètres près, que la tour Montparnasse ! Celui qui n’est pas sur le cliché est derrière l’appareil. Mais il a grimpé, lui aussi, en s’arrêtant fréquemment, par –10 °C, pour photographier leur exploit sous tous les angles. Née dans les années 70, l’escalade de murailles d’eau momentanément figée par le froid est considérée comme la façon la plus dangereuse de faire de l’alpinisme. Il y a moins d’un mois, l’un de ses champions s’est tué en Angleterre, en chutant d’une cascade dix fois moins haute que celle-ci. LES CASCADEURS DE L’IMPOSSIBLE. On n’en voit qu’un, mais ils sont deux à avoir réussi l’ascension de cette impressionnante cascade de glace norvégienne, presque aussi haute, à 10 mètres près, que la tour Montparnasse ! Celui qui n’est pas sur le cliché est derrière l’appareil. Mais il a grimpé, lui aussi, en s’arrêtant fréquemment, par –10 °C, pour photographier leur exploit sous tous les angles. Née dans les années 70, l’escalade de murailles d’eau momentanément figée par le froid est considérée comme la façon la plus dangereuse de faire de l’alpinisme. Il y a moins d’un mois, l’un de ses champions s’est tué en Angleterre, en chutant d’une cascade dix fois moins haute que celle-ci. " title="Des yeux, des doigts, fallait bien que ça pète un jour..." />LES CASCADEURS DE L’IMPOSSIBLE. On n’en voit qu’un, mais ils sont deux à avoir réussi l’ascension de cette impressionnante cascade de glace norvégienne, presque aussi haute, à 10 mètres près, que la tour Montparnasse ! Celui qui n’est pas sur le cliché est derrière l’appareil. Mais il a grimpé, lui aussi, en s’arrêtant fréquemment, par –10 °C, pour photographier leur exploit sous tous les angles. Née dans les années 70, l’escalade de murailles d’eau momentanément figée par le froid est considérée comme la façon la plus dangereuse de faire de l’alpinisme. Il y a moins d’un mois, l’un de ses champions s’est tué en Angleterre, en chutant d’une cascade dix fois moins haute que celle-ci. " border="0" /> LES CASCADEURS DE L’IMPOSSIBLE. On n’en voit qu’un, mais ils sont deux à avoir réussi l’ascension de cette impressionnante cascade de glace norvégienne, presque aussi haute, à 10 mètres près, que la tour Montparnasse ! Celui qui n’est pas sur le cliché est derrière l’appareil. Mais il a grimpé, lui aussi, en s’arrêtant fréquemment, par –10 °C, pour photographier leur exploit sous tous les angles. Née dans les années 70, l’escalade de murailles d’eau momentanément figée par le froid est considérée comme la façon la plus dangereuse de faire de l’alpinisme. Il y a moins d’un mois, l’un de ses champions s’est tué en Angleterre, en chutant d’une cascade dix fois moins haute que celle-ci. (Pondella/Catersnewsagency    Marigotine

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