Le rejet hier de Sony Reader de l’App Store a été très mal perçu, certains reprochant à la firme de Cupertino d’avoir modifié les termes d’usages de sa plateforme de téléchargement pour accroître son contrôle dessus. Trudy Muller, porte-parole de la société, s’est justifié dans la journée.
« Nous n’avons pas changé les règles ou les lignes de conduite vis à vis des développeurs. » a stipulé Trudy Miller à AllThingsDigital. « Nous exigeons désormais qu’une application offrant la possibilité d’acheter des livres en dehors de l’application, offre la même option avec l’achat « In-App ». »
L’In-App est un processus d’achat plus simple pour l’utilisateur, évitant de devoir ouvrir un magasin en ligne sur Safari. Mais pas sûr qu’Amazon, Sony, ou encore la Fnac accepte ce système qui les privera très probablement d’une grande part de leur revenu. Pour rappel, Apple prend 30 % du montant de tous les achats In-App, une des bases de l’éco-système de son iOS.
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