Un peu le sentiment d'avoir agi en censeur. Le premier a avoir vendu la mêche en public à propos de la mise en ligne par le site québecois Classiques des Sciences Sociales des textes d'Albert Camus; c'est Cristobal, l'ami du Québec, qui m'avait tuyauté. C'était le 24 janvier dernier, repris le surlendemain par LivresHebdo et Actualitte, censuré en France une petite semaine après avec le traçage de l'adresse IP. L'avocat de Gallimard faisant preuve de diligence. Cela n'aura pas trainé. Désolé, Aldus trop lu par nos amis éditeurs. Cela me servira de leçon, ne comptez plus sur moi. A l'avenir, je saurais me faire discret...