« Il n’y a pas que le travail dans la vie ! »
Cette phrase peut prêter à sourire, surtout quand on sait que la première préoccupation des Français est le travail. La majorité d’entre eux a peur du chômage. Dans le contexte de crise actuelle, le travail constitue même une denrée rare et pour ceux qui en ont, ils font tout pour s’y accrocher, quitte à sacrifier leur vie personnelle ou familiale.
Effectivement, le travail constitue une part importante de la vie. Sans travail, il est extrêmement difficile de manger, de se loger, de se divertir, d’élever convenablement ses enfants, etc. Même avec un travail, c’est parfois très difficile…
Toutefois, le travail doit-il constituer toute votre vie ?
Si vous avez une famille, des enfants, ne pensez-vous pas que vous ne devriez chercher les moyens de leur consacrer un peu plus de temps ? Certes, un travail doit se faire sérieusement et consciencieusement, mais devez-vous tout lui sacrifier ?
Votre conjoint, vos enfants ont certainement besoin de votre présence pour s’épanouir ou grandir correctement.
Vous-même, vous avez besoin de temps pour vous. Si vous daignez vous dorloter, vous occuper de vous, exercer des activités sportives ou créatrices, vous verrez que cela rejaillira sur votre travail, que vous exercerez plus calmement et plus sereinement. Dans le même temps, votre famille pourra bénéficier de votre bien-être retrouvé.
Demandez-vous également pourquoi vous consacrez autant de temps à votre travail ?
Parfois, c’est nécessaire. Mais, bien souvent, l’addiction au travail cache un problème plus profond, comme un mal-être ou des difficultés relationnelles. Certains addicts au travail restent longtemps au bureau pour ne pas rentrer chez eux. Quand ils sont en week-end ou en vacances, ils continuent à travailler en ramenant des dossiers ou en consultant leurs mails. Ils se sentent indispensables. Au travail, ils ont l’impression d’exister, d’être importants, d’être reconnus. C’est le seul moyen qu’ils ont trouvé pour être valorisés. Ils trouvent dans le travail un refuge. C’est le cocon dans lequel ils se sentent bien. Ils se coupent ainsi du monde qui les entoure, ils n’ont plus de vie sociale. Finalement, ils ne profitent pas pleinement de la vie, pire, ils ne vivent qu’une très petite partie de celle-ci. Quand ils arriveront à la retraite, ils n’auront fait que travailler et le bilan de leur vie sera bien terne et insipide. Ils se sentiront profondément seuls, perdus et inutiles. Ils regretteront peut-être d’avoir consacré toute leur vie à leur travail. Mais, il sera trop tard !
L’addiction au travail entraîne du stress et du surmenage, qui rejaillissent sur la santé et sur l’entourage. Il est extrêmement difficile aux addicts de mettre un frein à leur travail, car ils sont persuadés que c’est la société qui leur demande d’être, sans arrêt, performants et au top du top. C’est vrai mais peut-être que pour atteindre cette perfection, il n’est pas forcément nécessaire de passer tout son temps au travail. Des techniques existent pour travailler mieux et plus. Ces techniques, vous les trouverez dans le livre « Vous avez tout pour être heureux. Le livre pour améliorer votre vie. »,de Katy Gawelik, éd. Maxima. Et, comme le travail n’est pas tout dans la vie, vous y trouverez également des conseils pour vous dorloter et trouver du temps à vous consacrer.
Réagissez pendant qu’il est encore temps ! Le travail est important et primordial mais comme le dit le dicton : « Vous devez travailler pour vivre mais pas vivre pour travailler ».
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