dimanche 13 février : CA FOURMILLE !

Bizarrement, depuis que je suis candidat à une élection, j’ai pris l’habitude de chercher des réponses à tous les problèmes que je peux rencontrer quotidiennement. Stationnement, économie, sécurité, équipements, attractivité du territoire, transports… tout y passe ! Les différentes rencontres organisées avec les habitants dont je sollicite les suffrages en mars prochain, permettent de soulever des questions auxquelles il faut des réponses. Si j’en crois leur discours, le déneigement des axes routiers a été le problème n°1 de cet hiver. Que faire ? A mon avis, il faudrait que les axes prioritaires de déneigement soient connus des habitants (une carte doit exister, mais où la trouver ?). Ensuite, il faudrait améliorer le renseignement des conditions météo via les nouvelles technologies (SMS, Tweeter,…). Plus vite on est prévenu, plus vite on peut prendre ses dispositions. Enfin, je préconise le subventionnement des pneus neige par le Département : circuler sur route blanche avec un équipement spécial devient plus simple ! Enfin, les chômeurs de chaque commune pourraient réaliser une partie du dégagement des axes, en échange de leurs indemnités.

Cette semaine, ma voiture a été victime de dégradations, alors qu’elle était garée sur la voie publique à Metz, à proximité du Centre Pompidou. La vitre brisée, mon agenda, un disque dur externe et un GPS ont été volés : je m’en sors pas trop mal puisque d’autres choses pouvaient m’handicaper davantage ! Après avoir déposé plainte au commissariat et compris rapidement que le matériel volé ne sera jamais retrouvé, tout comme le voyou, je me suis rendu compte que plusieurs personnes autour de moi avaient eu des « pépins » sur leur voiture dans le lieu du « drame ». Conclusion : cette rue est plus assujettie que d’autres au vol. Pourquoi ne pas le mentionner quelque part ? La police doit certainement posséder des statistiques sur les secteurs plus dangereux que d’autres. Il me paraît aussi judicieux de développer la vidéosurveillance dans les lieux publics. Il est incompréhensible que nos armées soient très fortes dans la résolution du terrorisme et le grand banditisme, et éprouvent du désintérêt pour les vols, dégradations, violences à la personne… qui touchent pourtant beaucoup de nos concitoyens.