Magazine
j'ai un froid soudain et implacable,le vent qui souffle fort nous empêcher d'avancer!alors que reste -t-il sinon se protégerentrer par cette porte d'où un siffle grandioseoccupe notre espace: il faudra donc attendre!les gens se plaignent parlent contre ce qui s'écouleun mélange de sang souillé, c'est j'ai entendu moi aussidans ce grand tintamarre les cris de cette femme et le bruit des os cassants, ouvrant les plaiessanguinolentes,chacun a retourné sa tête perso,ne rien voir, faire fi , ne rien entendrepar même le flop sec d'un personne qui mourrait!j'ai ouvert mon portable et j'ai fait le 112je croyais faire bien mais dix minutes à se faire questionner, inquisitoire du temps qui passeet cette femme qui se meure, et j'ai crié,y-a- t- il un médecin dans la salle et là un vieil homme, humble et simple, me dit oui!il se mit au travail sans états d'âme,elle s'appelait Noria, elle n'arrêtait pas de prier, de faire des douas, c'est il y a quelques jour je crois bien que c'était lundi, un lundi ordinaire