Magazine Lingerie

String et épilation

Publié le 13 janvier 2011 par Stringhomme
L'homme moderne prend soin de lui : il n'est qu'à voir l'univers des cosmétiques, des parfums, pour s'en convaincre. Même s'il hésite encore à se maquiller discrètement (c'est tout un art), les crèmes et les onguents de toutes sortes envahissent désormais sa salle de bains.
Un autre phénomène se dessine depuis quelque temps. L'homme opte pour l'épilation. Les sportifs la pratiquent depuis très longtemps pour des raisons hygiéniques et de confort. Dans l'Antiquité, on passait beaucoup de temps à supprimer les poils. La statuaire nous le rappelle aujourd'hui, dans cette sorte d'idéal qu'elle affiche encore dans les musées. Les cyclistes d'aujourd'hui se rasent ou s'épilent jambes et bras. Il faut dire que soigner des blessures sur des membres poilus n'est pas aisé, et ceux qui ont été hospitalisés le savent bien. Nos nageurs exhibent aussi des corps débarrassés de tout poil, et leurs corps n'ont rien à envier à ceux des athlètes grecs d'autrefois.Si je n'ai rien d'un athlète, si je ne peux pas exhiber un corps aussi finement dessiné, cela fait déjà plusieurs années que j'ai décidé de m'épiler. Je fréquente même désormais un institut où je peux faire disparaître les poils de toutes les parties de mon corps. Je dois dire que porter un string sur un corps tout lisse est assez excitant. Cela donne un effet quelque peu érotique. Et je dois dire que cette peau toute lisse ajoute à la sensualité. Certains hommes préfèrent tailler artistiquement leur pubis pour éviter l'effet désastreux des poils broussailleux dépassant du string. Pour ma part, je préfère avoir la peau toute lisse : celle-ci entre plus aisément au contact du fin tissu du string, et cela suscite maints plaisirs insoupçonnés tout au long de la journée. De ce point de vue, aucun autre sous-vêtement ne peut procurer un tel plaisir.

Retour à La Une de Logo Paperblog

A propos de l’auteur


Stringhomme 24 partages Voir son profil
Voir son blog

l'auteur n'a pas encore renseigné son compte l'auteur n'a pas encore renseigné son compte

Magazine