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Steadicam: un peu d’histoire

Publié le 25 janvier 2008 par Patrice Roulive

En me balladant sur le site de Johnny Chung Lee, qui d??veloppe ses trucs de fous pour la WII, j’ai vu qu’il expliquait ??galement comment construire une . Si vous ??tes fain??ant, vous pouvez m??me commander le truc tout fait pour 40$.

Un peu d’histoire en passant… Le steadicam est un appareil de cin??ma permettant la prise de vue port??e, ?? la vol??e, en travelling versatiles, gr??ce ?? un ing??nieux syst??me de harnais et de bras articul??. L’op??rateur peut ainsi marcher ou courir tout en gardant une image totalement stable. Il permet entre autre de long suivis, des mont??es d’escalier,Die meisten online Blackjack Spieler freuen sich ?ber den Spass und die Spannung, die Seiten ,wo man online Blackjack http://www.mattelove.com kann, bieten. des d??ambulations en terrain accident??, etc.

steadicam

Le steadicam a ??t?? invent?? par Garrett Brown en 1972. Il l’exp??rimente sur des publicit??s, puis vient le tour du cin??ma avec le film Marathon man de John Schlesinger en 1976 et Rocky de John G. Avildsen la m??me ann??e. Il faut attendre le film Bound for glory de Hal Ashby, toujours en 1976, pour que Brown tourne un premier plan-s??quence muni de son invention.

Mais bien entendu, tout le monde se souvient de The Shining de Kubrick en 1980. Il y aura l’avant et l’apr??s la fameuse sc??ne qui suit Danny sur son “Big Wheels”.

The Shining

Ensuite, son utilisation va se g??n??raliser, avec des quelques grands r??alisateurs qui ma??trisent parfaitement les plans-s??quence ?? base de Steadicam: De Palma, Scorsese, Tarantino.
L’op??rateur le plus connu ??tait probablement Larry McConkey, qui travaille sur tous les films de Brian De Palma.

Voici quelques s??quence c??l??bre.

- Bonfire of the Vanities, De Palma, la g??nial s??quence d’ouverture
- Carlito’s Way, De Palma, l’inoubliable sc??ne de poursuite ?? la gare
- Goodfellas, Scorsese
- Titanic, Cameron
- Born On the 4th July, Oliver Stone
- Kill Bill, Tarantino, voir ci-dessous
- The Russian Ark, d’Aleksandr Sokurov et ses 90 minutes !

Kill Bill


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