Pédagogiquement, Louise a dû revoir ses objectifs à la baisse. Dans sa classe de 5e, l’un des élèves ne sait toujours pas écrire son prénom. Et personne ne maîtrise encore le présent. « Je ne suis pas frustrée, je suis dépassée, précise-t-elle. Dépassée par l’importance des problèmes de ces gamins que je suis incapable de résoudre, faute de formation. »