J’ai gifflé un môme l’autre soir à deux pas de la place Tahrir.
L’Egypte post révolution où rien n’a changé n’a pas bougé sur ce plan là. J’étais rue Talat Harb, à deux pas de Tahrir, quand un môme vient faire la manche à côté de moi.
Je n’ai pas d’argent, passe ton chemin, puis je ne vais pas te donner de mauvaises habitudes.
Une fois, deux fois, et puis hop, je te fiche une main au cul ni vu ni connu.
Ca a été radical, je lui ai retourné une gifle directement.