Le corps du sable est l’ossuaire de l’infini.
Ce qui n’a pas de visage veut enfin prendre coeur.
Dans le la du vide tremblent les étoiles.
Un souffle glisse sur le sentier des nerfs.
(Zéno Bianu)
Illustration
Le corps du sable est l’ossuaire de l’infini.
Ce qui n’a pas de visage veut enfin prendre coeur.
Dans le la du vide tremblent les étoiles.
Un souffle glisse sur le sentier des nerfs.
(Zéno Bianu)
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