Au risque de déplaire à la croyance populaire, la femme n’est ni le sexe faible, ni de l’homme la tendre moitié. Elle ne lui est ni égale, ni inférieure, ni supérieure. Elle est son complément. Tout simplement. Comme il est le sien. Ni plus. Ni moins. Tous deux opposés et différents. Et, par le fait même, si attirants.
Ma vie de femme débuta avec une longueur d’avance dès l’adolescence. Maman était dans le vent. Pour ses quatre filles, rien de trop beau! Ce fut mon premier cadeau. Études, pilule, indépendance. Il y a 40 ans, quelle extravagance!
Depuis, bien des femmes continuent d’amplifier la vigueur de ma flamme.
Je pense à celle qui accueille mes confidences, mes larmes, mes impatiences. Celle qui comprend mes joies et tourments, géants ou insignifiants. Celle qui m’aime comme je suis, sans fard, sans œuvre d’art.
Celle qui communique avec mon étincelle unique. Celle qui sait réussir sa vie et en partager les fruits avec les gens d’ailleurs et d’ici. Celle dont la cuisine est divine. Celle qui sait tout des amis magiques.
Celle qui d’une blague inattendue m’apporte la détente bienvenue. Celle qui pose la question marteau-piqueur qui décoince mon démarreur. Celle dont les paroles de sagesse savent apaiser ma détresse.
Celle qui me concocte de puissantes potions pour me remettre sur le piton. Celle dont les bons massages libèrent mon corps de lourds bagages. Celle dont les habiles doigts d’acier ont la permission de me coiffer.
Celle qui des voyages possède la piqûre et m’inclut dans ses aventures. Celle qui adore jouer avec moi au scrabble et me faire découvrir des mots incroyables.
Celle qui se fait l’écho de mon cœur, quand je n’entends que mes peurs. Celle qui tourne sans hésiter la clé de ma créativité.
Celle qui apprécie ma présence, au gré des saisons de l’existence. Malgré le froid, la distance. Malgré la pluie, les silences.
Celle qui me fait vivre grands et petits calvaires pour effondrer mes frontières. Celle qui secoue mes masques imaginaires. Celle qui se rit de tout mystère.
En ai-je oubliées? Si oui, sachez que vos noms sont tracés à l’encre de l’éternité.
Et vous? Quelles sont celles qui vous accompagnent? Celles qui attisent la féminine ardeur de votre incomparable flamme?
Quel que soit notre état d’âme, c’est yin d’être femme!
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