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L'autisme est une maladie auto-immune d'origine vaccinale

Publié le 13 mars 2011 par Darouich1
L'autisme a été multiplié par trente, entre 1978 et 1999, aux Etats-Unis et à Londres. Cela correspond aux campagnes de vaccination (ROR) dans ces deux pays. Le hasard n'existe pas.

L'autisme débute, avant trois ans, par un retard ou une absence totale de développement du langage parlé avec souvent des mouvements répétitifs. L'enfant présente une soif excessive, des troubles intestinaux (hyperplasie iléo-colique lymphoïde nodulaire et colite), une tendance à l'automutilation et, très souvent, un terrain atopique et une fragilité des voies respiratoires, ce qui nous situe dans le terrain tuberculinique.

Les trois vaccins contre la rougeole, les oreillons et la rubéole sont dangereux

Selon Mary Megson, qui travaille sur une anomalie de la protéine G alpha, l'autisme pourrait être lié à la toxine du vaccin coquelucheux qui sépare la protéine G alpha des récepteurs de l'acide rétinoïque dans le cerveau, rendant la vitamine A inefficace sur le plan fonctionnel. La toxine pertussique entraîne une infiltration monocytaire auto-immune de la lamina propria du côlon (avec excès d'expression des antigènes HLA de classe Il).
Chez un certain nombre d'enfants autistes, le tissu lymphoïde de l'iléon montre une protéine du virus de la rougeole et une élévation des anticorps contre la rougeole.
Ce processus de rupture de liaison entre la vitamine et son récepteur implique une absence de régulation du métabolisme des lipides, du glucose, des protéines de régulation hormonale, de la suppression d'oncogène et de l'auto-immunité.
Hilleman, en 1992, rapporte un nombre élevé de pathologies intestinales et de décès, liés à des diarrhées, pendant deux ans après la vaccination contre la rougeole (avec vaccins à titre élevé ou avec vaccins associés contre la rougeole, les oreillons et la rubéole), chez les très jeunes enfants des pays en voie de développement.
Montgomery et Wakefield ont constaté que plus la mortalité infantile était faible, plus la maladie de Crohn avait une incidence élevée, vingt à quarante ans plus tard. C'est le jeune âge auquel l'enfant est exposé aux infections virales de la rougeole et des oreillons qui entraîne un fort risque d'autisme ou de maladie de Crohn plus tard.
La réunion, sur un court délai, de ces deux affections est rare. Ce qui est plus courant c'est l'association vaccinale des deux virus accompagnée de celui de la rubéole.
La présence concomitante des virus de la rougeole et des oreillons, avant 7 ans, soit par infection soit par association vaccinale, accroît le risque de rectocolite hémorragique, puis, à un âge plus avancé, de maladie de Crohn. Plus les conditions socio-économiques s'améliorent et plus l'infection virale est faible (ce qui est le cas avec le vaccin), plus on risque de faire une maladie de Crohn plutôt qu'une rectocolite hémorragique.
L'entérocolite de l'enfant autiste entraîne une anomalie de la muqueuse intestinale qui rend l'enfant concerné hypersensible à des produits de dégradation des produits laitiers animaux et des céréales (dérivés alimentaires de type morphinique).
La vaccination contre la rougeole est proposée pour soi-disant éviter le risque d'une affection gravissime appelée panencéphalite sclérosante subaiguë. Or, dans sa conférence, Wakefield dit que la disparition quasi complète des cas de panencéphalite sclérosante subaiguë semble plus liée aux améliorations des conditions matérielles qu'au vaccin contre la rougeole, puisqu'il place un point d'interrogation avant la phrase "lorsque la vaccination antirougeole permet de réduire la fréquence de l'exposition" (au virus de la rougeole).

Le ROR est à virus vivants

Rappelons que les trois vaccins contre la rougeole, les oreillons et la rubéole sont à virus vivants, atténués mais vivants ! Rappelons que la Grande-Bretagne et l'Allemagne ont interdit le ROR sur leur territoire, depuis une dizaine d'années, après avoir constaté environ trois cents cas de méningites. La France a poursuivi sa politique vaccinale, en prétendant qu'il n'y avait pas de problème, que le vaccin était fiable. Discrètement, il y a trois ou cinq ans, le ROR a été retiré du marché, après avoir remplacé la partie dangereuse (oreillons) par une nouvelle souche contre ces oreillons. Le vaccin actuel s'appelle ROR VAX.

Sur quels cobayes le ROR VAX a-t-il été testé ?

Rappelons que des chercheurs ont injecté à des cobayes répartis en trois lots identiques en poids et en âge :
1er lot : des virus de l'herpès I : pas de problème.
2e lot : des virus de l'herpès II : pas de problème.
3e lot : des virus de l'herpès I et de l'herpès Il, ensemble : on constate une mortalité de 100 %. L'autopsie révèle la présence de virus nouveaux (jusqu'à trois par animal) et différents de ceux de départ ! Pourquoi n'en serait-il pas de même avec des vaccins type ROR ou ROR VAX ?
Selon M. Megson, les récepteurs de l'acide rétinoïque sont essentiels à la vision, à la perception sensorielle, au langage et à l'attention, les signaux étant amplifiés dix millions de fois par la protéine G alpha. Leur blocage entraîne un blocage des récepteurs de l'acétylcholine.
Ce blocage pourrait être en cause dans la dyslexie, l'hyperactivité, la psychose maniaco-dépressive, la schizophrénie, le syndrome de fatigue chronique, la fibromyalgie, l'hyperlipidémie de type Il, l'entéropathie liée au gluten, le cancer des glandes muqueuses (adénocarcinome du côlon), la dystrophie musculaire et la polyarthrite rhumatoïde.
L'urocholine est un agoniste, donc un semblable, des récepteurs alpha muscariniques qui accroît la sécrétion bilio-pancréatique et stimule, de façon indirecte, les récepteurs de l'acide rétinoïque dans l'hippocampe (qui servent, notamment, à l'apprentissage spatial et à la mémoire) et stimule les récepteurs postsynaptiques de l'acétylcholine. Certains récepteurs de l'acide rétinoïque sont aussi des récepteurs des hormones thyroïdiennes, de la calcitonine et de la sécrétine.
Les prédispositions sont les antécédents familiaux cliniques :
• d'anomalie de la protéine G alpha,
• de cécité nocturne,
• de pseudo-hypoparathyroïdie,
• d'adénome de la glande thyroïde, ou d'hypothyroïdie,
• d'adénome de l'hypophyse,
et, sur le plan génétique : un terrain HLA DR 3, DR 4 et DR 5.
Les anticorps contre la rougeole agissent sur les filaments intercellulaires qui permettent l'intégrité de la muqueuse du grêle, la membrane de l'intestin grêle devient alors "poreuse".

Le vaccin vivant contre la rougeole entraîne une chute d'apport de vitamine A

La forme insaturée cis de la vitamine A naturelle est la mieux assimilée sous forme de palmitate de vitamine A que l'on trouve dans le foie, les rognons, les matières grasses du lait et l'huile de foie de morue.
Chez l'autiste, il existe une dégradation de la surface de l'intestin grêle due à une intolérance aux protéines du blé. Il s'ensuit une baisse de 85 % de l'absorption du coenzyme A dans l'intestin, entraînant une dérivation de la choline vers la production de l'homocystéine. Cette dernière favorise les maladies cardiovasculaires, indépendamment de toute notion de cholestérol. La prise de SAME (s-adénosyl-méthionine, sorte d'acide aminé soufré) favorise la synthèse d'acétylcholine. La prescription de vitamine A (2500 Ul ou 0,85 cm3 d'huile de foie de morue) puis d'urocholine donne une amélioration immédiate du contact visuel, de la socialisation et de l'utilisation du langage, de l'apprentissage de la propreté et une meilleure qualité de sommeil.

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